Текст и перевод песни Anouk Aiata - Le lendemain

Le lendemain

Serons-nous emportés
Par une vague amère
Tout à coup apparue
Si cette longue seconde
Devanait la dernière
Alors qu'aurions nous vu
Quelques rouges soleils
Des lunes en larmes
Des horloges qui se perdent
Quelques oiseaux qui volent
En quittqnt de grqnds qrbres
Et se posent dqns l'herbe

Quand l'automne commence
Qprès le crépuscule
Sous la pluie argentée
Nous suivons le chemin
Des anciens somnambules
Papillons oubliès
Nous restons allongés
Quand la forêt s'emballe
Et si les chouettes crient
Nous attendrons ensemble
Jusqu'à l'aurore opale
En oubliant le bruit

Tout est si beau près de toi
Les souvenirs se déploient
Mon enfance au creux de test mains
Je vois tout ce que tu vois
Et si tu dis qu'il fiat froid
Je frissonne le ledemain

Les nuages blancs s'arrêtent
Au sommet des montagnes
Et tombent les orages
Si partout où je vais
Les torrents m'accompagnent
Je garde du courage
Tu n'as pas oublié
Quand fleurissent les œillets
Qui cachent les ornières
Nous trînons sous nos pieds
Les traces ensablées
De bien tristes déserts

Tout est si beau près de toi
Les ouvenirs se déploint
Mon enfance au creux de test mains
Je vois tout ce que tu vois
Et si tu dis qu'il fait froid
Je frissonne le lendemain

Et mon cœur fatigué
De suivre la marée
S'apaise doucement
Il n'y a plus que toi
Il n'y a plus d'après
Tu chantes tendrement
Serons-nous emportés
Par une vague amère
Tout à coup apparue
Si cette longue seconde
Devenait la dernière
Alors qu'aurions-nous vu

The Next Day

Will we be carried away
By a bitter wave
Suddenly appeared
If this long second
Were to become the last
Then what will we have seen
A few red suns
Moons in tears
Clocks that get lost
A few birds flying
Leaving great trees
And landing in the grass

When autumn begins
After dusk
Under the silver rain
We follow the path
Of the ancient sleepwalkers
Forgotten butterflies
We remain lying down
When the forest goes wild
And if the owls cry
We will wait together
Until the opal dawn
Forgetting the noise

Everything is so beautiful near you
Memories unfold
My childhood in the hollow of your hands
I see everything that you see
And if you say it's cold
I shiver the next day

The white clouds stop
At the top of the mountains
And the storms fall
If everywhere I go
The torrents accompany me
I keep my courage
You have not forgotten
When the carnations bloom
Which hide the ruts
We drag under our feet
The sandy traces
Of very sad deserts

Everything is so beautiful near you
Memories unfold
My childhood in the hollow of your hands
I see everything that you see
And if you say it's cold
I shiver the next day

And my tired heart
Of following the tide
Gently soothes
There is only you now
There is no more after
You sing tenderly
Will we be carried away
By a bitter wave
Suddenly appeared
If this long second
Were to become the last
Then what will we have seen