Текст и перевод песни Antonio Aguilar - Alta y Delgadita

Alta y Delgadita

¡Que viva Zacatecas!
Sí señor, sí señor, que viva, que viva, sí señor

Eres alta y delgadita
Tu hermosura me provoca
Mira que nariz, que boca
Que cuerpo que cinturita
No la cambiaria por otra
Aunque fuera mas bonita

Eres vaso de cristal
Que en el mar andas nadando
Como no te puedo hablar
Por eso me ando rodeando
No seas ingrata mujer
No me hagas andar penando

¡No me hagas sufrir, mujer!

Del arbol se caen las hojas
Y del sol no hay que dudar
Bonitas son las muchachas
Sacandolas a pasear
Con dinero y no con señas
¡Ay! Qué rechulo es amar

Me subí al cerro mas alto
A preguntarle a cupido
Qué cual era la campana
Con que se tocaba olvido
Para olvidar a esa ingrata
Que olvidarla no he podido

Cupido me contestó
No le metas corte al pino
La mujer que sea celosa
Dale pronto su destino
Que se quede como el oso
Devisando pa'l camino

Ya con esta me despido
Deshojando una rosita
Aquí se acaban cantando
Versos de la delgadita
No la cambiaría por otra
Ni aunque fuera mas bonita

Grande et mince

Vive Zacatecas !
Oui monsieur, oui monsieur, vive, vive, oui monsieur

Tu es grande et mince
Ta beauté me provoque
Regarde ce nez, cette bouche
Ce corps, cette taille
Je ne la changerais pour aucune autre
Même si elle était plus belle

Tu es un verre de cristal
Qui nage dans la mer
Comme je ne peux pas te parler
C’est pourquoi je tourne autour de toi
Ne sois pas ingrate, femme
Ne me fais pas souffrir

Ne me fais pas souffrir, ma belle !

Les feuilles tombent de l’arbre
Et du soleil, il ne faut pas douter
Les filles sont belles
En les emmenant se promener
Avec de l’argent et pas avec des signes
Oh ! Comme c’est beau d’aimer !

Je suis monté sur la plus haute colline
Pour demander à Cupidon
Quelle était la cloche
Avec laquelle on sonnait l’oubli
Pour oublier cette ingrate
Que je n’ai pas pu oublier

Cupidon m’a répondu
Ne coupe pas le pin
La femme qui est jalouse
Donne-lui vite son destin
Qu’elle reste comme l’ours
Cherchant son chemin

Je te dis au revoir maintenant
En détachant une rose
Ici s’arrêtent les chants
Vers de la mince
Je ne la changerais pour aucune autre
Même si elle était plus belle