Текст и перевод песни Antonio Aguilar - Tu Muñeco

Tu Muñeco

Si porque me ven rondando
Las esquinas de tu barrio,
Piensas que vengo a buscarte
Piensas que te ando rogando...
Nada nada nada

De veras que no te mides,
Con franqueza te lo digo
Si me ves haciendo guardia
No es tu casa la que cuido...
Creida creida

Y a proposito de amores
Recuerda que fui el primero,
Despues ese caballero
Que es tu juguetito nuevo,
Ojala que te resulte consecuente y cariñoso,
Porque a mi sinceramente
No me gusta el muy baboso...
Tiene cara de perro

Te crees divina, ay si,
Te crees soñada
Porque te sientes solicitada
Si hoy te diviertes tronando cohetes
Mañana vas a cachar las varas

Pero en fin pa'que le brinco
Si esta el suelo tan parejo
Yo sere lo que tu quieras...
Pero no soy tu muñeco

Que creites? Ay mi vieja
Nombre, traime dozen
Y en español que decia de docena
A diez centavos
Aja, jua, jua, jua y mas jua

Te crees divina, si si
Te crees soñada
Porque te sientes solicitada
Si hoy te diviertes tronando cohetes
Mañana vas a cachar las varas

Pero en fin pa'que le brinco
Si esta el suelo tan parejo
Yo sere lo que tu quieras...
Pero no soy tu muñeco
Adios vieja fea!

Votre Poupée

Si tu penses que je rôde
Aux coins de ton quartier,
Que je viens te chercher
Que je te supplie...
Non, non, non

Sache que tu te trompes,
Je te le dis franchement
Si tu me vois faire la garde
Ce n'est pas ta maison que je protège...
Folle, folle

Et à propos d'amour
Rappelle-toi que j'étais le premier,
Puis ce monsieur
Qui est ton nouveau jouet,
J'espère qu'il sera consciencieux et affectueux,
Parce que, sincèrement,
Je n'aime pas ce type,
Il a une gueule de chien

Tu te prends pour une déesse, oh oui,
Tu te pends pour un rêve
Parce que tu te sens désirée
Si aujourd'hui tu te fais plaisir en faisant exploser des feux d'artifice
Demain, tu vas sentir le bâton

Mais bon, pourquoi je ferais des bonds
Si le sol est si plat
Je serai ce que tu veux...
Mais je ne suis pas ta poupée

Tu crois quoi? Oh ma vieille
Nom de Dieu, ramène-moi une douzaine
Et en espagnol, on disait une douzaine
A dix centimes
Aja, jua, jua, jua et plus jua

Tu te prends pour une déesse, oui oui
Tu te pends pour un rêve
Parce que tu te sens désirée
Si aujourd'hui tu te fais plaisir en faisant exploser des feux d'artifice
Demain, tu vas sentir le bâton

Mais bon, pourquoi je ferais des bonds
Si le sol est si plat
Je serai ce que tu veux...
Mais je ne suis pas ta poupée
Au revoir vieille laide!