Текст и перевод песни Aquarius - ココ東京 feat.S-WORD,BIG-O,DABO

ココ東京 feat.S-WORD,BIG-O,DABO

所謂2003 フリソソグサンザン あたまん中に浮かんだ 世界へ飛んだって平気さ しばしの天才
過去/現在/(未来) オモテじゃいっこうに止まない 今世紀もまた戦争?
明けても暮れてもまた争う? 所詮オレ達は逃げも隠れも出来ねえさ ただココで生きてくだけ
ココ東京 そうココ東京

ココ東京 ビルに埋まる今日 明日には忘れられちまいそうな恐怖
どこ吹く風うけ 明日へ うわさ話から何から載っけて まってけよ 谷間を這えよ
かいくぐれ かけられてる網を ひっかかんのなら
簡単 信じた分だけ いただくカウンター ホラックラッ!!
(クラッ)クラッ(クラッ)クラッ(クラッ)
クラッちゃう よせばいいのに やっちゃうのか

ちゃっちゃっ ついついムキになっちゃう 例のスイッチが入っちゃう すたすた配っちゃう
ひとり歩き むちゃくちゃ 実は中身がぐちゃぐちゃ アー誰か助けてなんて言えずに
厄介ごとを 片付けてる

めんくらっちまうような MONDAY NIGHT もう 忘れちまうような
TUESDAY NIGHT そう どうにもならない
WEDNESDAY NIGHT いまだ終わらない
何も揺るがない 気付けばとっくに
THIRSDAY NIGHT 振り切る遠くに FRIDAY NIGHT まとめてROCK ON SATURDAY NIGHT
SUNDAY NIGHT 越えて止まらない

ホラ ROCK ON 秒殺でトリコ BIG-Oのライム 放り込む 大立ち回り その耳連行
物的証拠 記録のRECORD この病む街 消えぬマジック 時は経ち 見失う価値
GOT MY MIND ON MY MONEY MONEY ON MY MIND
ビルの谷間に 舞う現ナマ 路上の会話はシリアス 徐々に夢 リアリティを増す
BEATに乗り 追いかける明日 ヘッドフォンから AQUARIUS
俺は望んで この街と共存 走り抜ける WAR-ZONE 東京タワーのネオン
消える前に 会いに行くぜ オマエに (オマエに...)

めんくらっちまうような MONDAY NIGHT もう 忘れちまうような
TUESDAY NIGHT そう どうにもならない
WEDNESDAY NIGHT いまだ終わらない
何も揺るがない 気付けばとっくに
THIRSDAY NIGHT 振り切る遠くに FRIDAY NIGHT まとめてROCK ON SATURDAY NIGHT
SUNDAY NIGHT 越えて止まらない

明るすぎ すごいストレス プラス 見過ごすペース YO 見渡してみ ビルまたビル
そのふもとじゃ 浮浪者が昼からビール 巨大な人間交差点 膨大な金銭どんだけ?
超壮大なゲーム 誰が次の¥EN箱スター 誰もが夢見る 賽銭箱スタイル
カラスが鳴く ゴミ捨て場 俺はネズか ゴキスケか 踏みつぶされんのはゴメン
とっととフケンぜ ショボイさだめ切り裂く SHURE の剣で サバイブ中 ブカブカのティンバーランドで
きざむ詩集 まだかなり夢中 投げられたダイスは未知の方向へ やさぐれた 眠らん街の混沌へ

めんくらっちまうような MONDAY NIGHT もう 忘れちまうような
TUESDAY NIGHT そう どうにもならない
WEDNESDAY NIGHT いまだ終わらない
何も揺るがない 気付けばとっくに
THIRSDAY NIGHT 振り切る遠くに FRIDAY NIGHT まとめてROCK ON SATURDAY NIGHT
SUNDAY NIGHT 越えて止まらない

Coco Tokyo feat.S-WORD,BIG-O,DABO

Ce qu'on appelle 2003, un rêve en trois dimensions, un monde qui flotte dans ma tête, je pourrais même voler vers lui, un génie pour un instant
Passé/présent/(futur), ça ne s'arrête pas, une autre guerre au XXIème siècle ?
Toujours en guerre, jour et nuit ? Nous ne pouvons pas nous cacher, nous ne pouvons pas nous échapper, nous vivons juste ici.
Coco Tokyo, c'est ici, Coco Tokyo.

Coco Tokyo, englouti dans les bâtiments aujourd'hui, la peur que j'oublierai demain.
Je ne me soucie pas du vent, je vais vers demain, je prends tout ce que j'entends, les rumeurs, etc., suis-moi, rampe à travers les crevasses.
Contourne le filet qui t'est lancé, si tu es pris.
Facile, plus tu crois, plus tu prends le contre, bam !
(Bam) bam (bam) bam (bam)
Ça te frappe, tu ferais mieux d'arrêter, vas-tu le faire ?

Trop vite, je deviens trop sérieux, mon interrupteur habituel s'allume, je distribue à la hâte.
Seul, fou, en fait, l'intérieur est un désastre, je ne peux pas dire "S'il te plaît, quelqu'un à l'aide"
Je gère les ennuis.

Lundi soir, ça te fait tourner la tête, je l'oublierai.
Mardi soir, oui, c'est impossible.
Mercredi soir, ce n'est pas encore fini.
Rien ne bouge, je me suis rendu compte que c'était déjà.
Jeudi soir, loin, vendredi soir, ensemble, on continue samedi soir.
Dimanche soir, on ne s'arrête pas.

Tiens, on continue, instantané, accro, les rimes de BIG-O, je les lance, grande scène, tes oreilles sont emportées.
Preuve matérielle, enregistrement de l'enregistrement, cette ville malade, magie impérissable, le temps passe, la valeur perdue.
GOT MY MIND ON MY MONEY MONEY ON MY MIND.
Dans la vallée des bâtiments, l'argent liquide danse, la conversation dans la rue est sérieuse, le rêve devient de plus en plus réel.
Au rythme de la musique, on poursuit demain, AQUARIUS sort de mes écouteurs.
Je le voulais, je coexiste avec cette ville, je traverse la zone de guerre, les néons de la tour de Tokyo.
Avant qu'ils ne disparaissent, je vais te voir, toi (toi ...).

Lundi soir, ça te fait tourner la tête, je l'oublierai.
Mardi soir, oui, c'est impossible.
Mercredi soir, ce n'est pas encore fini.
Rien ne bouge, je me suis rendu compte que c'était déjà.
Jeudi soir, loin, vendredi soir, ensemble, on continue samedi soir.
Dimanche soir, on ne s'arrête pas.

Trop lumineux, un stress énorme, un rythme à ignorer, regarde autour de toi, des bâtiments partout.
En bas, les sans-abri boivent de la bière le midi, un énorme carrefour humain, une quantité d'argent folle.
Un jeu colossal, qui sera la prochaine star des ¥EN ? Tout le monde rêve d'être un style de tirelire.
Les corbeaux crient, décharge, suis-je un rat ? Une blatte ? Je ne veux pas être écrasé.
Je dois disparaître, je déchire mon sort minable, avec l'épée de SHURE, je suis en train de survivre, dans mes Timberland amples.
Je compose mes poèmes, j'y suis encore accro, les dés lancés mènent vers l'inconnu, dans le chaos de cette ville insomniaque et délabrée.

Lundi soir, ça te fait tourner la tête, je l'oublierai.
Mardi soir, oui, c'est impossible.
Mercredi soir, ce n'est pas encore fini.
Rien ne bouge, je me suis rendu compte que c'était déjà.
Jeudi soir, loin, vendredi soir, ensemble, on continue samedi soir.
Dimanche soir, on ne s'arrête pas.