Текст и перевод песни Arena - Moviedrome

Moviedrome

Stay down!
Like a shadow in a hallway
Watching all the blues and greens
As I hide from the glare of a monitor screen
Run fast!
Like a shadow in a subway
Try to remain unseen
As I hide from the glare of the T.V. screen

We're all sucked in
Part of the core collective
We're all dragged in
Blind to the cause we've been selected for... Elected for

Stand still!
Like a ghost in the firewall
Watching all the blues and greens
As I listen to the rhythm of the fax machine

What will I be when winter comes again?
And we're wrapped up in furs, and life has begun again

And it hurts to be away from you
From the world you made so well

What will I be when the summer comes once more?
And we're naked and weak in the eye of the sun once more
We're all sucked in...

"Leave it on the net" demands the optimist
"No room for slaves to high tech reform"
Maybe there's a way to save the pessimist
He could make it to the hills and ride out the storm

"Formulas are set" declares the analyst
"This is the road for everyone"
Maybe we can hide, continue to exist
With a crate of bottled water and a sawn off shot gun

Try to survive - Don't look into his eyes
Try to stay alive - Don't look into his dead, dead eyes

You can send me codes
From the safety of a chat room
In your grey ether clothes
I have looked into your soul
Looked into your soul!

I'm sitting with my head in the radiogram
Waiting for some sign of a ghost or a little green man
Glued to the glowing of a sun behind the plastic hood
And the bass heavy tones
That ooze from the pores in the wood
Oh no... I can't go there again
Oh no... Was this ever meant to be?

I'm sitting on the floor with the book in my hand
Dreaming of the world in a way that only children can
And I listen for the emanating sounds from the hidden choirs
The message in the radiant valves and red hot wires
Oh no... I can't go there again
Oh no... Was this ever meant to be?

To think it has come to this
Ruled by indifference
Underlying waves of doubt
Such arrogant self reliance
Too far we have traveled out
Nervous in our sentience
Ordinary people
Objects and events
Now is a time of foolish fears
Emotions run high and needless tears are shed

He has the face of a friend
And shall reach across the world into every home
We invite him in and offer no defense
And with every given soul he reaches for his throne
He has the face of an Angel
As he leads us in the dance
Until we find ourselves... alone!

So we're standing in the Moviedrome
Staring at the shadows and the falling lights
Prisoners forever in the Moviedrome
Letting all the pictures be the
Guide to our fragile lives
Did we ever really learn?
Did we never really learn?
The human race has found it's own true home
The dwelling places of these high tech lies
The few that see the world beyond the Moviedrome
Must march on through the wilderness
Of fantasy, false images, and pride

Ciné-parc

Reste en bas !
Comme une ombre dans un couloir
Regardant tous les bleus et les verts
Alors que je me cache de l'éclat d'un écran d'ordinateur
Cours vite !
Comme une ombre dans un métro
Essayer de rester invisible
Alors que je me cache de l'éclat de l'écran de télévision

Nous sommes tous aspirés
Faisant partie du noyau collectif
Nous sommes tous entraînés
Aveugles à la cause pour laquelle nous avons été sélectionnés... Élus pour

Ne bouge pas !
Comme un fantôme dans le pare-feu
Regardant tous les bleus et les verts
Alors que j'écoute le rythme du télécopieur

Que serai-je quand l'hiver reviendra ?
Et que nous serons emmitouflés dans des fourrures, et que la vie aura recommencé

Et ça fait mal d'être loin de toi
Du monde que tu as si bien créé

Que serai-je quand l'été reviendra ?
Et que nous serons nus et faibles sous l'œil du soleil à nouveau
Nous sommes tous aspirés...

"Laisse-le sur le net" exige l'optimiste
"Pas de place pour les esclaves de la réforme high-tech"
Peut-être y a-t-il un moyen de sauver le pessimiste
Il pourrait se rendre dans les collines et échapper à la tempête

"Les formules sont établies" déclare l'analyste
"C'est le chemin pour tout le monde"
Peut-être pouvons-nous nous cacher, continuer d'exister
Avec une caisse d'eau en bouteille et un fusil à canon scié

Essayer de survivre - Ne le regarde pas dans les yeux
Essayer de rester en vie - Ne le regarde pas dans ses yeux morts, si morts

Tu peux m'envoyer des codes
Depuis la sécurité d'un salon de discussion
Dans tes vêtements gris éther
J'ai regardé dans ton âme
Regardé dans ton âme !

Je suis assis, la tête dans le radiogramme
Attendant un signe d'un fantôme ou d'un petit homme vert
Collé à la lueur d'un soleil derrière le capot en plastique
Et les tons graves
Qui suintent des pores du bois
Oh non... Je ne peux pas y retourner
Oh non... Était-ce vraiment le destin ?

Je suis assis par terre, le livre à la main
Rêvant du monde d'une manière que seuls les enfants le peuvent
Et j'écoute les sons émanant des chœurs cachés
Le message dans les valves rayonnantes et les fils rouges
Oh non... Je ne peux pas y retourner
Oh non... Était-ce vraiment le destin ?

Penser que nous en sommes arrivés là
Gouvernés par l'indifférence
Des vagues de doute sous-jacentes
Une confiance en soi si arrogante
Nous avons voyagé trop loin
Nerveux dans notre sensibilité
Gens ordinaires
Objets et événements
C'est maintenant l'époque des peurs insensées
Les émotions sont vives et des larmes inutiles sont versées

Il a le visage d'un ami
Et il atteindra chaque foyer à travers le monde
Nous l'invitons à entrer et n'offrons aucune défense
Et avec chaque âme qui lui est donnée, il se rapproche de son trône
Il a le visage d'un ange
Alors qu'il nous entraîne dans la danse
Jusqu'à ce que nous nous retrouvions... seuls !

Nous voilà donc au Ciné-parc
Regardant les ombres et les lumières qui tombent
Prisonniers à jamais dans le Ciné-parc
Laissant toutes les images être le
Guide de nos vies fragiles
Avons-nous jamais vraiment appris ?
N'avons-nous jamais vraiment appris ?
La race humaine a trouvé son véritable foyer
Les demeures de ces mensonges technologiques
Les rares qui voient le monde au-delà du Ciné-parc
Doivent traverser le désert
De la fantaisie, des fausses images et de l'orgueil