Текст и перевод песни Auryn - Sentado en el banco - Instrumental

Sentado en el banco - Instrumental

Si las tardes en el parque del barrio
Las hubieramos pasado estudiando,
En lugar de tu foto en un marco,
Hoy tendría yo aquí
Un Nobel en cualquier campo.

Y es que fuimos como dos astronautas,
Si nos entraba la risa
Todo el mundo nos miraba.
Vaya si lo recuerdo,
Tú me decías al oido:
No escuches, los raros son ellos,
Los raros son ellos.

No imaginabas que soñaba en secreto
Que te comía la sonrisa a besos.
Por eso aquella tarde fria de Enero
Me quise morir.

Cuando apareciste
Corriendo hacía mí,
Feliz como una niña
Comenzaste a decir:
Serás el primero
En saber que por fin
Me he enamorado.

Seguiste mis consejos,
Tuviste valor,
Esperaste aquel vestido
Que siempre te gustó.
Creciste de golpe,
Y atrás quede yo,
Quede convertido
En tu mejor amigo.

(Amigo)

Te marchaste corriendo
A buen paso,
Y se quedó tu sonrisa a mi lado
Un rato más.
Me quede allí sentado en el banco,
Igual que un perro que espera
En la tumba de quien le ha cuidado.

No imaginabas que soñaba en secreto
Que te comía la sonrisa a besos.
Por eso aquella tarde fria de Enero
Me quise morir.

Cuando apareciste
Corriendo hacía mí,
Feliz como una niña
Comenzaste a decir:
Serás el primero
En saber que por fin
Me he enamorado.

Seguiste mis consejos,
Tuviste valor,
Esperaste aquel vestido
Que siempre te gustó.
Creciste de golpe,
Y atrás quede yo,
Quede convertido...

Cuando apareciste
Corriendo hacía mí,
Feliz como una niña
Comenzaste a decir:
Serás el primero
En saber que por fin
Me he enamorado.

Seguiste mis consejos,
Tuviste valor,
Esperaste aquel vestido
Que siempre te gustó.
Creciste de golpe,
Y atrás quede yo,
Quede convertido
En tu mejor amigo.

En tu mejor amigo...

Assis sur le banc - Instrumental

Si les après-midi au parc du quartier
Nous les avions passées à étudier,
Au lieu de ta photo dans un cadre,
Aujourd'hui j'aurais ici
Un prix Nobel dans n'importe quel domaine.

Et c'est que nous étions comme deux astronautes,
Si le rire nous prenait
Tout le monde nous regardait.
Comme je m'en souviens,
Tu me disais à l'oreille :
N'écoute pas, les étranges, c'est eux,
Les étranges, c'est eux.

Tu n'imaginais pas que je rêvais en secret
De te dévorer le sourire à coups de baisers.
C'est pourquoi ce froid après-midi de janvier
J'ai voulu mourir.

Quand tu es apparue
En courant vers moi,
Heureuse comme une enfant
Tu as commencé à dire :
Tu seras le premier
À savoir que enfin
Je suis tombée amoureuse.

Tu as suivi mes conseils,
Tu as eu du courage,
Tu as attendu cette robe
Que tu as toujours aimée.
Tu as grandi soudainement,
Et je suis resté en arrière,
Je suis devenu
Ton meilleur ami.

(Ami)

Tu t'es enfuie en courant
À bon rythme,
Et ton sourire est resté à mes côtés
Encore un moment.
Je suis resté assis sur le banc,
Comme un chien qui attend
Sur la tombe de celui qui l'a soigné.

Tu n'imaginais pas que je rêvais en secret
De te dévorer le sourire à coups de baisers.
C'est pourquoi ce froid après-midi de janvier
J'ai voulu mourir.

Quand tu es apparue
En courant vers moi,
Heureuse comme une enfant
Tu as commencé à dire :
Tu seras le premier
À savoir que enfin
Je suis tombée amoureuse.

Tu as suivi mes conseils,
Tu as eu du courage,
Tu as attendu cette robe
Que tu as toujours aimée.
Tu as grandi soudainement,
Et je suis resté en arrière,
Je suis devenu…

Quand tu es apparue
En courant vers moi,
Heureuse comme une enfant
Tu as commencé à dire :
Tu seras le premier
À savoir que enfin
Je suis tombée amoureuse.

Tu as suivi mes conseils,
Tu as eu du courage,
Tu as attendu cette robe
Que tu as toujours aimée.
Tu as grandi soudainement,
Et je suis resté en arrière,
Je suis devenu
Ton meilleur ami.

Ton meilleur ami…