Текст и перевод песни Austin Meade - Pay Phone

Pay Phone

Businessman come to own this town
DEA started hanging around
Fine cocaine, it covered every street
For the next state counties, it'd come through me

Church every Sunday, a God-fearing man
Lord up above figured out my plan
Man with two kids, and a third on the way's
Supposed to get by punching eight hours every day

Run through the mountains, and hide in the hills
Packed the kids and the wife in the automobile
Gas and the shop, and the matches on the pit
Turned a 30-year mortgage into smoldering bits

Some days I wanna tell the world
But I can't tell a soul
It wouldn't change a thing
And it wouldn't bring you home

My boys look up to their daddy with pride
They take after me like I did mine
Got her smile but they got my eyes
Mouths like sailors and a fightin' side

Some days I wanna tell the world
But I can't tell a soul
It wouldn't change a thing
And it wouldn't bring you home

22 miles due southeast
'Neath the shadow of a 60-year-old oak tree
My first love, sweet Savannah lies
Cold and blue on the dirt and dust
Can't raise my boys behind concrete
From pay phone call twice a week

Some days I wanna tell the world
But I can't tell a soul
It wouldn't change a thing
And it wouldn't bring you home

Téléphone Public

Un homme d'affaires est venu s'approprier cette ville
La DEA a commencé à rôder
La cocaïne pure recouvrait chaque rue
Pour les comtés de l'état voisin, ça passait par moi

À l'église chaque dimanche, un homme craignant Dieu
Le Seigneur là-haut a deviné mon plan
Un homme avec deux enfants, et un troisième en route
Est censé s'en sortir en travaillant huit heures par jour

Courir à travers les montagnes, se cacher dans les collines
J'ai embarqué les enfants et ma femme dans la voiture
L'essence, le magasin, et les allumettes sur le foyer
J'ai transformé un prêt immobilier de 30 ans en cendres fumantes

Certains jours, j'ai envie de le dire au monde entier
Mais je ne peux le dire à personne
Ça ne changerait rien
Et ça ne te ramènerait pas à la maison, ma chérie

Mes garçons admirent leur papa avec fierté
Ils me ressemblent comme je ressemblais au mien
Ils ont ton sourire mais ils ont mes yeux
Une bouche de charretier et un tempérament bagarreur

Certains jours, j'ai envie de le dire au monde entier
Mais je ne peux le dire à personne
Ça ne changerait rien
Et ça ne te ramènerait pas à la maison, ma chérie

À 35 kilomètres au sud-est
Sous l'ombre d'un chêne de 60 ans
Mon premier amour, la douce Savannah repose
Froide et bleue sur la terre et la poussière
Je ne peux pas élever mes garçons derrière du béton
Avec un appel d'une cabine téléphonique deux fois par semaine

Certains jours, j'ai envie de le dire au monde entier
Mais je ne peux le dire à personne
Ça ne changerait rien
Et ça ne te ramènerait pas à la maison, ma chérie