Текст и перевод песни Aşkın Nur Yengi - Siyah Beyaz

Siyah Beyaz

Vedasız ayrılıklar seyrindeyim
İçimde hatıralar siyah beyaz
Bir şiir geçiyor penceremden
Hüznümü azaltıyor biraz

Kapattım, gözlerimi kilitledim
Sırtımı döndüm yalnızlıklara
Kendimi savunurken hayata
Büyüdüm senelerce bu yaz

Telli duvaklı sevdalar eser başımda
Sırılsıklam bütün takvimler gözyaşımda
Feryat figan aynalara tutunur gençliğim
Giden perişan, kalan çığlık çığlığa

Telli duvaklı sevdalar eser başımda
Sırılsıklam bütün takvimler gözyaşımda
Feryat figan aynalara tutunur gençliğim
Gençliğim çığlık çığlığa

Vedasız ayrılıklar seyrindeyim
İçimde hatıralar siyah beyaz
Bir şiir geçiyor penceremden
Hüznümü azaltıyor biraz

Kapattım, gözlerimi kilitledim
Sırtımı döndüm yalnızlıklara
Kendimi savunurken hayata
Büyüdüm senelerce bu yaz

Telli duvaklı sevdalar eser başımda
Sırılsıklam bütün takvimler gözyaşımda
Feryat figan aynalara tutunur gençliğim
Giden perişan, kalan çığlık çığlığa

Telli duvaklı sevdalar eser başımda
Sırılsıklam bütün takvimler gözyaşımda
Feryat figan aynalara tutunur gençliğim
Gençliğim çığlık çığlığa

Telli duvaklı sevdalar eser başımda
Sırılsıklam bütün takvimler gözyaşımda
Feryat figan aynalara tutunur gençliğim
Giden perişan, kalan çığlık çığlığa

Telli duvaklı sevdalar eser başımda
Sırılsıklam bütün takvimler gözyaşımda
Feryat figan aynalara tutunur gençliğim
Gençliğim çığlık çığlığa

Noir et Blanc

Je suis témoin de séparations sans adieu
Dans mon cœur, des souvenirs en noir et blanc
Un poème traverse ma fenêtre
Il soulage un peu ma tristesse

J'ai fermé les yeux, je les ai verrouillés
J'ai tourné le dos à la solitude
En me défendant contre la vie
J'ai grandi pendant des années cet été

Des amours voilées de dentelle flottent au-dessus de ma tête
Tous les calendriers sont détrempés de mes larmes
Mes cris de détresse se cramponnent aux miroirs, ma jeunesse
Celui qui est parti est en lambeaux, celui qui reste crie à tue-tête

Des amours voilées de dentelle flottent au-dessus de ma tête
Tous les calendriers sont détrempés de mes larmes
Mes cris de détresse se cramponnent aux miroirs, ma jeunesse
Ma jeunesse crie à tue-tête

Je suis témoin de séparations sans adieu
Dans mon cœur, des souvenirs en noir et blanc
Un poème traverse ma fenêtre
Il soulage un peu ma tristesse

J'ai fermé les yeux, je les ai verrouillés
J'ai tourné le dos à la solitude
En me défendant contre la vie
J'ai grandi pendant des années cet été

Des amours voilées de dentelle flottent au-dessus de ma tête
Tous les calendriers sont détrempés de mes larmes
Mes cris de détresse se cramponnent aux miroirs, ma jeunesse
Celui qui est parti est en lambeaux, celui qui reste crie à tue-tête

Des amours voilées de dentelle flottent au-dessus de ma tête
Tous les calendriers sont détrempés de mes larmes
Mes cris de détresse se cramponnent aux miroirs, ma jeunesse
Ma jeunesse crie à tue-tête

Des amours voilées de dentelle flottent au-dessus de ma tête
Tous les calendriers sont détrempés de mes larmes
Mes cris de détresse se cramponnent aux miroirs, ma jeunesse
Celui qui est parti est en lambeaux, celui qui reste crie à tue-tête

Des amours voilées de dentelle flottent au-dessus de ma tête
Tous les calendriers sont détrempés de mes larmes
Mes cris de détresse se cramponnent aux miroirs, ma jeunesse
Ma jeunesse crie à tue-tête