Текст и перевод песни BAP - Dat Däät Joot

Dat Däät Joot

Och wenn ich off nit met mir einig benn,
Wenn ich nächtelang em Bett stonn,
Mich froore: hätt dat ei′ntlich noch'ne Senn?
Ir′ndwann weeß och du fottjonn,
Mich froore: finge mir noch für uns statt?
Woor dat alles? Oder: hann mir uns lang satt?
Dabei weiß ich wirklich nit, wem usser dir'sch vertraue könnt,
Eins ess secher; Do bess minge Fründ, minge beste Fründ.
Wo ess die, die für mich Rähnboore jekläut,
Der'sch Glöckspenning verstreut hann?
Kann′t sinn..., dat die die Naach em Mai bereut,
Die Stunde Null janz ahm Ahnfang?
Övver Schatte springe′s nit ding Disziplin,
Doch wenn't bloß Angs ess, du feels dobei hin,
Ich fang dich op un halt dich fest, dann es die Ewigkeit zo koot,
Spring un fall ru′isch - ich fang dich,
Dat deit joot - dat däät joot.
Weißte noch wie't wohr, mir zwei jäjen dä Rest?
Uns kunnt keiner, Pesch un Schwäwel′s nur su fest.
Liebs du mich noch? He ich sehn mich noh dämm zwei Buchstabe Woot.
Loß dich falle ... ich saach dir:
Dat deit joot, dat däät joot.

Ça fait du bien

Même si je ne suis pas toujours d'accord avec moi-même,
Si je reste éveillé dans mon lit pendant des nuits,
Je me demande : est-ce que ça a un sens ?
Un jour, tu le sauras aussi,
Je me demande : sommes-nous encore l'un pour l'autre ?
Tout ça... ou avons-nous fini par en avoir assez l'un de l'autre ?
Je ne sais vraiment pas à qui d'autre je peux me confier,
Une chose est sûre : tu es mon ami, mon meilleur ami.
Où est-elle, celle qui a volé mon cœur pour moi,
Qui a dispersé mon argent de la chance ?
Peut-être... qu'elle regrettera le lendemain de mai,
Le jour du jugement final, au tout début ?
Ne pas sauter sur les ombres, ce n'est pas ta discipline,
Mais si c'est juste la peur, tu perds tout ton courage,
Je te rattrape et je te tiens serré, alors l'éternité est trop courte,
Saute et tombe tranquillement - je te rattrape,
Ça fait du bien - ça fait du bien.
Tu te souviens comment c'était, nous deux contre le reste ?
Personne ne pouvait nous toucher, le mal et la méchanceté étaient juste si forts.
M'aimes-tu encore ? J'ai besoin de voir ces deux lettres "oui".
Laisse-toi tomber... je te le dis :
Ça fait du bien, ça fait du bien.