Текст и перевод песни Bane - Calling Hours

Calling Hours

I've tried to hold what I can
You should see these scars that are on my hands

Letting go is never easy to do
Everyday's a new door that we all must go through
I've learned so much, you're never gone, my friend.
I know we'll meet the same shining end.

Forget the who, the what, the when, the where, the why
Did you love something with all of your might?

Sometimes it's death that sets us free
To ask for more, well it feels obscene

But what we had we will always have
I'm not afraid because I know that it was pure
And stands forevermore.

Forget the who, the what, the when, the where, the why
Deep down inside I know I tried
Did you love something with all of your might?

What's done is done the night takes everyone

As the shadows fall over town
And the sun sinks in the sea
All the wonder of what will wait
Is a whirlwind in me
Is the grass under the moon
Still growing and green?
When the sky begins to fall
Will love stand by me?
Are our fathers forever still?
Will our mothers only weep?
Does the dream of yesterday
Come true from a prayer on our knees?

You told me to "give everything" and now you're tired?
Then let's get loud and go out with open fire
Or make it intimate, hold you close with piano wire
I'll get so ugly that you'll see the best of you that I've admired

As you lose your breath
(But the shadow still remains)
I fucking hate that it hurts
(But the shadow will remain)
I'll shake these walls with your name
(But the shadow will remain)
Give you the loudest fucking echo
(But the shadow will remain)

Don't grieve for your own end before you have finished it
I'm only heading to the ground
I'd rather feel rage than apathy
You know that it breaks me slowly
There's endless promise in this
This being infinite
So take the twisted love for it with understanding
I'm not ready
This will only leave me losing more
When I follow it down
To a place where no one knows what we have done
Bleed out to feel

Heures de visite

J'ai essayé de tenir ce que je pouvais
Tu devrais voir ces cicatrices sur mes mains

Lâcher prise n'est jamais facile à faire
Chaque jour est une nouvelle porte que nous devons tous franchir
J'ai beaucoup appris, tu n'es jamais parti, mon ami.
Je sais que nous rencontrerons la même fin brillante.

Oublie le qui, le quoi, le quand, le où, le pourquoi
As-tu aimé quelque chose de tout ton cœur ?

Parfois, c'est la mort qui nous libère
Demander plus, eh bien, ça me semble indécent

Mais ce que nous avions, nous l'aurons toujours
Je n'ai pas peur parce que je sais que c'était pur
Et ça perdure à jamais.

Oublie le qui, le quoi, le quand, le où, le pourquoi
Au fond de moi, je sais que j'ai essayé
As-tu aimé quelque chose de tout ton cœur ?

Ce qui est fait est fait, la nuit emporte tout le monde

Alors que les ombres tombent sur la ville
Et que le soleil se couche dans la mer
Toute la merveille de ce qui nous attend
Est un tourbillon en moi
Est-ce que l'herbe sous la lune
Est toujours en croissance et verte ?
Quand le ciel commence à tomber
L'amour sera-t-il à mes côtés ?
Nos pères sont-ils toujours là ?
Nos mères ne feront que pleurer ?
Est-ce que le rêve d'hier
Se réalise par une prière sur nos genoux ?

Tu m'as dit de "tout donner" et maintenant tu es fatiguée ?
Alors faisons du bruit et sortons avec des flammes
Ou rendons ça intime, tiens-moi près avec du fil de piano
Je deviendrai tellement laid que tu verras le meilleur de toi que j'ai admiré

Alors que tu perds ton souffle
(Mais l'ombre persiste)
Je déteste que ça fasse mal
(Mais l'ombre persiste)
Je vais faire trembler ces murs avec ton nom
(Mais l'ombre persiste)
Je vais te donner le plus fort putain d'écho
(Mais l'ombre persiste)

Ne pleure pas pour ta propre fin avant de l'avoir achevée
Je ne fais que me diriger vers le sol
Je préfère ressentir la rage que l'apathie
Tu sais que ça me brise lentement
Il y a une promesse infinie dans cela
Cet être infini
Alors prends cet amour tordu avec compréhension
Je ne suis pas prêt
Cela ne me laissera que perdre plus
Quand je le suivrai
Vers un endroit où personne ne sait ce que nous avons fait
Saigner pour ressentir