Текст и перевод песни Barbara Bonney, Thomas Hampson, Sir Simon Rattle, Birgit Remmert, Kurt Streit, Wiener Philharmoniker & City of Birmingham Symphony Chorus - Symphony No. 9 in D Minor (Choral), Op. 125: Presto 'O Freunde, Nicht Diese Töne!'

Symphony No. 9 in D Minor (Choral), Op. 125: Presto 'O Freunde, Nicht Diese Töne!'

O Freunde, nicht diese Töne
Sondern lasst uns angenehmere anstimmen
Und freuden-, freudenvollere

Freude (Freude)
Freude (Freude)
Freude schöner Götterfunken
Tochter aus Elysium
Wir betreten feuertrunken
Himmlische, dein Heiligtum

Deine Zauber binden wieder
Was die Mode streng geteilt
Alle Menschen werden Brüder
Wo dein sanfter Flügel weilt

Deine Zauber binden wieder
Was die Mode streng geteilt
Alle Menschen werden Brüder
Wo dein sanfter Flügel weilt

Wem der große Wurf gelungen
Eines Freundes Freund zu sein
Wer ein holdes Weib errungen
Mische seinen Jubel ein

Ja, wer auch nur eine Seele
Sein nennt auf dem Erdenrund
Und wer's nie gekonnt, der stehle
Weinend sich aus diesem Bund

Ja, wer auch nur eine Seele
Sein nennt auf dem Erdenrund
Und wer's nie gekonnt, der stehle
Weinend sich aus diesem Bund

Freude trinken alle Wesen
An den Brüsten der Natur
Alle Guten, alle Bösen
Folgen ihrer Rosenspur

Küsse gab sie uns, und Reben
Einen Freund, geprüft im Tod
Wollust ward dem Wurm gegeben
Und der Cherub steht vor Gott

Küsse gab sie uns, und Reben
Einen Freund, geprüft im Tod
Wollust ward dem Wurm gegeben
Und der Cherub steht vor Gott

Und der Cherub steht vor Gott
Steht vor Gott
Vor Gott

Froh, froh wie seine Sonnen, seine Sonnen fliegen
Froh, wie seine Sonnen fliegen
Durch des Himmels prächtgen Plan
Laufet, Brüder, eure Bahn

Laufet, Brüder, eure Bahn
Freudig, wie ein Held zum Siegen
Wie ein Held zum Siegen

Laufet, Brüder, eure Bahn
Laufet, Brüder, eure Bahn
Freudig, wie ein Held zum Siegen
Wie ein Held zum Siegen
Freudig, freudig, freudig wie ein Held zum Siegen

Freude schöner Götterfunken
Tochter aus Elysium
Wir betreten feuertrunken
Himmlische, dein Heiligtum

Deine Zauber binden wieder
Was die Mode streng geteilt
Alle Menschen werden Brüder
Wo dein sanfter Flügel weilt

Deine Zauber binden wieder
Was die Mode streng geteilt
Alle Menschen werden Brüder
Wo dein sanfter Flügel weilt

Seid umschlungen, Millionen
Diesen Kuss der ganzen Welt
Seid umschlungen, Millionen
Diesen Kuss der ganzen Welt

Brüder überm Sternenzelt
Muss ein lieber Vater wohnen
Brüder überm Sternenzelt
Muss ein lieber Vater wohnen

Ihr stürzt nieder, Millionen?
Ahnest du den Schöpfer, Welt?
Such ihn überm Sternenzelt
Über Sternen muss er wohnen

Ihr stürzt nieder, Millionen?
Ahnest du den Schöpfer, Welt?
Such ihn überm Sternenzelt
Such ihn überm Sternenzelt

Brüder, Brüder überm Sternenzelt
Muss ein lieber Vater wohnen

Tochter, Tochter aus Elysium
Freude, Tochter aus Elysium
Tochter, Tochter aus Elysium
Deine Zauber, deine Zauber binden wieder
Deine Zauber, deine Zauber binden wieder

Alle Menschen, alle Menschen
Alle Menschen, alle Menschen

Deine Zauber, deine Zauber binden wieder
Was die Mode streng geteilt
Alle Menschen, alle Menschen
Alle Menschen, alle Menschen
Alle Menschen werden Brüder
Wo dein sanfter Flügel weilt

Seid umschlungen, Millionen
Diesen Kuss der ganzen Welt

Seid umschlungen, Millionen
Diesen Kuss der ganzen Welt
Der ganzen Welt
Diesen Kuss der ganzen Welt
Der ganzen Welt

Symphonie nº 9 en ré mineur (chorale), op. 125 : Presto « O Freunde, Nicht Diese Töne ! »

Ô amis, non ! Pas ces accords !
Mais chantons-en de plus agréables
Et plus joyeux, plus joyeux !

Joie ! (Joie !)
Joie ! (Joie !)
Joie, belle étincelle divine,
Fille issue de l’Élysée !
Nous pénétrons, ivres d’enthousiasme,
Ô céleste, dans ton sanctuaire !

Tes enchantements resserrent les liens
Que la rigide coutume avait brisés :
Tous les hommes deviennent frères
Là où ton aile douce se pose.

Tes enchantements resserrent les liens
Que la rigide coutume avait brisés :
Tous les hommes deviennent frères
Là où ton aile douce se pose.

Celui qui a réussi le grand coup,
D’être l’ami d’un ami,
Celui qui a conquis une épouse adorable,
Qu’il mêle son allégresse à la nôtre !

Oui, celui qui peut en appeler une seule,
Sienne, sur cette terre,
Et celui qui ne l’a jamais pu, qu’il se dérobe
En pleurant, de notre cercle !

Oui, celui qui peut en appeler une seule,
Sienne, sur cette terre,
Et celui qui ne l’a jamais pu, qu’il se dérobe
En pleurant, de notre cercle !

La joie, tous les êtres la boivent
Au sein de la nature ;
Tous les bons, tous les méchants,
Suivent son sentier de roses.

Elle nous a donné les baisers et la vigne,
Un ami, éprouvé dans la mort ;
La volupté fut accordée au vermisseau,
Et le chérubin se tient devant Dieu !

Elle nous a donné les baisers et la vigne,
Un ami, éprouvé dans la mort ;
La volupté fut accordée au vermisseau,
Et le chérubin se tient devant Dieu !

Et le chérubin se tient devant Dieu
Se tient devant Dieu
Devant Dieu !

Joyeux, joyeux comme ses soleils, ses soleils volent
Joyeux, comme ses soleils volent
À travers le splendide plan du ciel !
Courez, frères, votre course,

Courez, frères, votre course,
Joyeux, comme un héros à la victoire !
Comme un héros à la victoire !

Courez, frères, votre course,
Courez, frères, votre course,
Joyeux, comme un héros à la victoire !
Comme un héros à la victoire !
Joyeux, joyeux, joyeux, comme un héros à la victoire !

Joie, belle étincelle divine,
Fille issue de l’Élysée !
Nous pénétrons, ivres d’enthousiasme,
Ô céleste, dans ton sanctuaire !

Tes enchantements resserrent les liens
Que la rigide coutume avait brisés :
Tous les hommes deviennent frères
Là où ton aile douce se pose.

Tes enchantements resserrent les liens
Que la rigide coutume avait brisés :
Tous les hommes deviennent frères
Là où ton aile douce se pose.

Soyez enlacés, millions d’êtres !
Ce baiser, donnez-le au monde entier !
Soyez enlacés, millions d’êtres !
Ce baiser, donnez-le au monde entier !

Frères, au-dessus de la voûte étoilée
Doit habiter un Père bien-aimé.
Frères, au-dessus de la voûte étoilée
Doit habiter un Père bien-aimé.

Vous vous prosternez, millions d’êtres ?
Monde, pressens-tu le Créateur ?
Cherche-le au-dessus de la voûte étoilée !
Au-dessus des étoiles, il doit habiter !

Vous vous prosternez, millions d’êtres ?
Monde, pressens-tu le Créateur ?
Cherche-le au-dessus de la voûte étoilée !
Cherche-le au-dessus de la voûte étoilée !

Frères, frères, au-dessus de la voûte étoilée
Doit habiter un Père bien-aimé.

Fille, fille issue de l’Élysée !
Joie, fille issue de l’Élysée !
Fille, fille issue de l’Élysée !
Tes enchantements, tes enchantements resserrent les liens,
Tes enchantements, tes enchantements resserrent les liens,

Tous les hommes, tous les hommes,
Tous les hommes, tous les hommes,

Tes enchantements, tes enchantements resserrent les liens
Que la rigide coutume avait brisés :
Tous les hommes, tous les hommes,
Tous les hommes, tous les hommes,
Tous les hommes deviennent frères
Là où ton aile douce se pose.

Soyez enlacés, millions d’êtres !
Ce baiser, donnez-le au monde entier !

Soyez enlacés, millions d’êtres !
Ce baiser, donnez-le au monde entier !
Au monde entier !
Ce baiser, donnez-le au monde entier !
Au monde entier !