Текст и перевод песни Beatriz Luengo - Dime (Con Pitingo)

Dime (Con Pitingo)

Dime que será de tu vida
Cuando cierres heridas,
Pienses que ya me olvidas
Y te acuerdes de mi.
Horas que se van como días,
Que se van como olas
Y al final desembocan
En un mundo sin ti.
Llámame cuando no sientas calor en tu piel...
Llámame sin saber que ya no estoy...
Miéntele cuando en tus sueños me vuelvas a ver...
Miéntele sin saber que ya no estoy aquí...
Tonta, me creí tus mentiras,
Porque cuando lastimas,
Yo me siento perdida
Pero me haces feliz...
Quiero que en tus noches vacías,
Mientras ella te mira,
Mi recuerdo en sus ojos
No te deje dormir.
Llámame cuando no sientas calor en tu piel...
Llámame sin saber que ya no estoy...
Miéntele cuando en tus sueños me vuelvas a ver...
Miéntele sin saber que ya no estoy aquí...
Dis moi, qu′est ce que ça fait d'être dans les bras d′une autre,
Dans les draps d'une autre et de crier mon nom
C'est ma voix qui te touche quand tu la touche
Ca relate milles supplices
Comme une bougie sur l′hotel sacré,
La flamme éclaire, l′autre, elle
Et maint'nant je voudrais just′ te dire
Regarde-moi, regarde la, dis moi

Dis-moi (Avec Pitingo)

Dis-moi ce qu'il adviendra de ta vie
Quand tu auras cicatrisé tes blessures,
Que tu penseras que tu m'as oublié
Et que tu te souviendras de moi.
Des heures qui s'en vont comme des jours,
Qui s'en vont comme des vagues
Et qui finissent par déboucher
Dans un monde sans toi.
Appelle-moi quand tu ne sentiras plus la chaleur sur ta peau...
Appelle-moi sans savoir que je ne suis plus là...
Mens-lui quand tu me reverras dans tes rêves...
Mens-lui sans savoir que je ne suis plus ici...
Bête, j'ai cru à tes mensonges,
Parce que quand tu blesses,
Je me sens perdue
Mais tu me rends heureuse...
Je veux que dans tes nuits vides,
Alors qu'elle te regarde,
Mon souvenir dans ses yeux
Ne te laisse pas dormir.
Appelle-moi quand tu ne sentiras plus la chaleur sur ta peau...
Appelle-moi sans savoir que je ne suis plus là...
Mens-lui quand tu me reverras dans tes rêves...
Mens-lui sans savoir que je ne suis plus ici...
Dis-moi, qu'est-ce que ça fait d'être dans les bras d'une autre,
Dans les draps d'une autre et de crier mon nom
C'est ma voix qui te touche quand tu la touches
Ca relate milles supplices
Comme une bougie sur l'hôtel sacré,
La flamme éclaire, l'autre, elle
Et maintenant je voudrais juste te dire
Regarde-moi, regarde-la, dis-moi