Текст и перевод песни Bernard Lavilliers - Montparnasse – Buenos Aires

Montparnasse – Buenos Aires

Seul face à face dans la glace j'regarde les gens qui passent
C'est l'été, des gens qui rient d'autres qui s'embrassent
C'est l'été à Montparnasse, l'été à Montparnasse
Des robes légères, des couples qui s'enlacent à Montparnasse
J'vais rester seul avec de la glace à Montparnasse

Je traine mon vague à l'âme sur les terrasses
Je cherche encore Madame, ses quelques traces
Qui inspirait Soutine, Appolinaire
Je vais passer de l'ombre à la lumière
Je vais passer de l'ombre à la lumière

Si cette nuit mes yeux billent, j'rencontre une âme seule
C'est l'été, j'parle de voyages d'autres paysages
C'est l'hiver à Buenos Aires, l'hiver à Buenos Aires

L'air est glacé, les gens séparés
Au café Margot à Buenos Aires
Des Italiens qui parlent Espagnol
Au café Margot à Buenos Aires

Je traine mon vague à l'âme sur les terrasses
Je cherche encore Madame, ses quelques traces
Qui inspirait Borges, Neruda
Si je vous intéresse, je reste là

Je traine mon vague à l'âme sur les terrasses
Je cherche encore Madame, ses quelques traces
Qui inspirait Soutine, Appolinaire
Je vais passer de l'ombre à la lumière
Je vais passer de l'ombre à la lumière
A la lumière

Montparnasse – Buenos Aires

Alone, face-to-face in the window, I gaze at the passersby
It's summer, people are laughing, others kissing
It's summer in Montparnasse, summer in Montparnasse
Light dresses, couples embracing in Montparnasse
I'll remain alone with ice in Montparnasse

I drag my melancholy on the terraces
I still seek the Lady, her few traces
Who inspired Soutine, Appolinaire
I will pass from the shadows into the light
I will pass from the shadows into the light

If tonight my eyes spark, and I meet a lonely soul
It's summer, I speak of travels and other landscapes
It's winter in Buenos Aires, winter in Buenos Aires

The air is freezing, people are separated
At Café Margot in Buenos Aires
Italians speaking Spanish
At Café Margot in Buenos Aires

I drag my melancholy on the terraces
I still seek the Lady, her few traces
Who inspired Borges, Neruda
If I interest you, I'll stay here

I drag my melancholy on the terraces
I still seek the Lady, her few traces
Who inspired Soutine, Appolinaire
I will pass from the shadows into the light
I will pass from the shadows into the light
Into the light