Текст и перевод песни Bianco - Felice

Felice

Vorrei uccidermi di urla
Di risate e di vino
Ubriacarmi perché a volte
Fare schifo fa bene
Pascolare al parco
Senza avere opinioni
Senza spaventarmi
Se le cose van male

Mi piacerebbe esistere
Ma non tutti i giorni
Saltare le puntate e
Tutti i momenti morti
Leggere l'oroscopo di Brezsny e capirlo
Veder passare il tempo
E nemmeno sentirlo

Vorrei prendere a calci un sasso
Fino al mattino
Portarlo piano piano
Fino al tuo giardino
Aspettare l'alba
In un giorno qualunque
E alle cinque e trenta
Arrivare già al dunque

Ma io mi sento meglio
Quando non sento niente
Anche se il silenzio vero
Non lo conosco
Contare quanti alberi
Ci sono in un bosco
Guardarmi nello specchio
E non sentirmi l'opposto

E invece gioco a fare il grande
Ma poi da grande
Non si può più giocare
E invece gioco a fare il grande
Ma poi da grande non si può

Esagerare, cadere
Senza farsi male
Copiare, spaccare
Senza mai pagare
E poi piangere
Senza sentirti solo
Senza chiederti
Se sei felice

Vorrei uccidermi di urla
Di risate e di vino
Ubriacarmi perché a volte
Fare schifo fa bene
Pascolare al parco
Senza avere opinioni
Ma poi da grande
Non si può più

Esagerare, cadere
Senza farsi male
Copiare, scappare
Senza mai pagare
E poi piangere
Senza sentirti solo
Senza chiederti
Se sei felice, felice, felice, felice

E adesso gioco a fare il grande
E adesso gioco a fare il grande
E adesso gioco a fare il grande

Felice

J'aimerais mourir de cris
De rires et de vin
M'enivrer parce que parfois
Être dégoûtant fait du bien
Pâturage au parc
Sans avoir d'opinions
Sans avoir peur
Si les choses tournent mal

J'aimerais exister
Mais pas tous les jours
Sauter les épisodes et
Tous les moments morts
Lire l'horoscope de Brezsny et le comprendre
Voir le temps passer
Et ne pas même le sentir

J'aimerais donner des coups de pied à un caillou
Jusqu'au matin
Le porter doucement
Jusqu'à ton jardin
Attendre l'aube
Un jour ordinaire
Et à cinq heures trente
Être déjà au cœur du sujet

Mais je me sens mieux
Quand je ne ressens rien
Même si le silence véritable
Je ne le connais pas
Compter combien d'arbres
Il y a dans une forêt
Me regarder dans le miroir
Et ne pas me sentir l'opposé

Et pourtant je joue à faire le grand
Mais ensuite quand on est grand
On ne peut plus jouer
Et pourtant je joue à faire le grand
Mais ensuite quand on est grand on ne peut plus

Exagérer, tomber
Sans se faire mal
Copier, briser
Sans jamais payer
Et ensuite pleurer
Sans te sentir seul
Sans te demander
Si tu es heureux

J'aimerais mourir de cris
De rires et de vin
M'enivrer parce que parfois
Être dégoûtant fait du bien
Pâturage au parc
Sans avoir d'opinions
Mais ensuite quand on est grand
On ne peut plus

Exagérer, tomber
Sans se faire mal
Copier, s'enfuir
Sans jamais payer
Et ensuite pleurer
Sans te sentir seul
Sans te demander
Si tu es heureux, heureux, heureux, heureux

Et maintenant je joue à faire le grand
Et maintenant je joue à faire le grand
Et maintenant je joue à faire le grand