Patsy Come Home - Billy Ray Cyrus перевод на французский

Patsy Come Home

Mile marker ninety-two on forty goin' west
I'd been drivin' without rest the whole night through
I saw this little cardboard sign about to fade away
Made a tear roll down my face with just one line
Patsy come home
It said, Patsy come home
I bet a mother's watchin' out a window
Or a lover's waitin' by the phone
No matter who's wrong
No matter what you're runnin' from
Somebody's tryin' to tell you they love you
Patsy come home
By Little Rock the rain was turnin' into snow
By now I'd prayed she'd gone back home again
I won't forget for some time the hopeful kind of love
Or the desperation of that cardboard sign
It said
Patsy come home
It said, Patsy come home
I know a mother's watchin' out a window
Or a lover's waitin' by the phone
No matter who's wrong
No matter what you're runnin' from
Somebody's trying to tell you they love you
Patsy come home
Somebody's trying to tell you they love you
Patsy come home...

Patsy, reviens à la maison

Borne-kilomètre quatre-vingt-douze sur la quarante en direction de l'ouest
Je conduisais sans repos toute la nuit
J'ai vu ce petit panneau en carton sur le point de disparaître
J'ai senti une larme couler sur mon visage avec une seule ligne
Patsy, reviens à la maison
Il disait, Patsy, reviens à la maison
Je parie qu'une mère regarde par la fenêtre
Ou qu'un amant attend au téléphone
Peu importe qui a tort
Peu importe ce que tu fuis
Quelqu'un essaie de te dire qu'il t'aime
Patsy, reviens à la maison
Près de Little Rock, la pluie se transformait en neige
À présent, j'avais prié pour qu'elle soit rentrée à la maison
Je n'oublierai pas de sitôt l'amour plein d'espoir
Ou la désespoir de ce panneau en carton
Il disait
Patsy, reviens à la maison
Il disait, Patsy, reviens à la maison
Je sais qu'une mère regarde par la fenêtre
Ou qu'un amant attend au téléphone
Peu importe qui a tort
Peu importe ce que tu fuis
Quelqu'un essaie de te dire qu'il t'aime
Patsy, reviens à la maison
Quelqu'un essaie de te dire qu'il t'aime
Patsy, reviens à la maison...