Текст и перевод песни Björk feat. Sindri Eldon - Ancestress

Ancestress

My skull is my cathedral
Where this matrimort takes place
When I was a girl, she sang for me
In falsetto lullabies with sincerity
I thank her for her integrity

My ancestress' clock is ticking
Her once vibrant rebellion is fading
I am her hopekeeper
I assure hope is there
At, at all times

My ancestress has left all manners
Her pulsating skin rebelling
The doctors she despised
Placed a pacemaker inside her

When you're out of time
Oh, how you look back changes?
Did you punish us for leaving?
Are you sure we hurt you?
Was it just not living?

She had idiosyncratic sense of rhythm
Dyslexia, the ultimate free form
She invents words and adds syllables
Hand-writing, language all her own

I don't have that story in my mouth
When you die
You bring with you what you've given

The machine of her breathed all night
While she rested
Revealed her resilience
And then it didn't

You see with your own eyes
But hear with your mother's
There's fear of being absorbed
Oh, by the other

By now, we share the same flesh
As much as I tried to escape it
This is no mediocre debris
My ancestress

This is the odour of our final parting
Those have been
The perfumes of separation
For centuries
The perfumes of separation
For centuries
Ancestress

Nature wrote this psalm
It expands this realm
Translucent skin
Let go of a cold palm embalmed

Aïeule

Mon crâne est ma cathédrale
Où ce matrimort a lieu
Quand j'étais fille, elle chantait pour moi
Des berceuses en falsetto avec sincérité
Je la remercie pour son intégrité

L'horloge de mon aïeule tourne
Sa rébellion autrefois vibrante s'estompe
Je suis sa gardienne d'espoir
Je t'assure que l'espoir est là
À, à tout moment

Mon aïeule a abandonné toutes convenances
Sa peau palpitante se rebelle
Les médecins qu'elle méprisait
Lui ont placé un stimulateur cardiaque

Quand le temps te manque
Oh, comment ton regard sur le passé change-t-il ?
Nous as-tu punis pour notre départ ?
Es-tu sûre que nous t'avons blessée ?
Était-ce juste ne pas vivre ?

Elle avait un sens du rythme idiosyncrasique
La dyslexie, la forme libre ultime
Elle invente des mots et ajoute des syllabes
Une écriture, une langue bien à elle

Je n'ai pas cette histoire en bouche
Quand tu meurs
Tu emportes avec toi ce que tu as donné

La machine qui la faisait respirer toute la nuit
Pendant qu'elle reposait
A révélé sa résilience
Et puis elle s'est arrêtée

Tu vois avec tes propres yeux
Mais tu entends avec ceux de ta mère
Il y a la peur d'être absorbé
Oh, par l'autre

Désormais, nous partageons la même chair
Autant que j'ai essayé d'y échapper
Ce ne sont pas de médiocres débris
Mon aïeule

C'est l'odeur de notre séparation finale
Ceux-là ont été
Les parfums de la séparation
Pendant des siècles
Les parfums de la séparation
Pendant des siècles
Aïeule

La nature a écrit ce psaume
Il étend ce royaume
Peau translucide
Lâcher une paume froide embaumée