Текст и перевод песни Black Bee - Deja Que Me Exprese (Con El Chojin)

Deja Que Me Exprese (Con El Chojin)

Black Bee)
Por favor, no mas llantos en Ramala,
Ya no siento el rap como parabola,
Para volar quiero el rap en esta suela,
En esta suela solo suelo pisar mierda.
Ohh! me limito a escuchar
Gramala, Gafa, Afghanistan.
¿Donde estan los creyentes del Coran?
¿Donde estan los que falman por ti Sadam?
Eoooo, vivir es un drama,
Deja que me exprese en raps como forma.
Critica social como norma,
Si no dices nada tus raps son broma.
Eh, yo hablo de las calles,
De los rappers que esperan a que falles,
De guerrilas en el valle,
De Colombia, chapas, la Ballalde

Deja que me exprese,
Dejame sacar mis alas,
Deja que te cuente,
Lo que veo cuando miro dentro de mi alma. (Chojin)
Tengo un montón de superpoderes
(Como)poner en papeles (trozos) de estilos que no hieren (o no)
Soy el Chojin y siempre hay algo en mi mente
(Como) acercar a mi gente (trozos) -ticias consistentes (o no)
Tengo mil ojos cuando ando en la ciudad,
Todos miran al que hace rap pensando en que fallará.
No tengo miedo a resbalarme,
Lo perdi tras una vida en el alambre.
Escribo con sangre,
Experiencias que me hicieron grande,
Todos de mi lin cuaderno manchado de frases,
No se si es importante dar mensajes,
Solo se que delante de un folio pongo las ideas que me salen.
Rap blee is Bee, como deberia expresarme,
Si ya era MC antes de aprencer a afeitarme,
Ni Dios tiene derecho a dudar de lo que el Cho ha hecho,
Tengo motivos para sacar pe-troleo.
Sentado en mi escritorio con un papel,
Cuando ando por la calle y cuchichean, es el es el,
Yo soo soy un bobo y a veces me odio por
No haber sido capaz de cambiar el mundo como en mi barrio.
Ni siquiera el tipo de musica que escucho en mis cascos,
Hay popas de vida, asco,
Mis motivos para seguir poniendo escrito sobre los ritmos,
Son los mismos que hace 15 años.
Eso es lo que come mi cabeza, no debe ser sano
Vivir obsesionado con la idea de que todo son letras,
Y he hablado tantas veces de ra (solo hablas de rap)
Y las que me quedan.
Mil cosas por aprender en una sola vida,
Vivir despacio va ser lo mismo que morir deprisa,
Como dicen en Mejico, siempre independiente,
Black Bee, el Cho, de-dejad que me exprese

Deja que me exprese,
Dejame sacar mis alas,
Deja que te cuente,
Lo que veo cuando miro dentro de mi alma.(Chojin)
2006 es el año,¿sabes?
Black Bee, el Chojin, asi es como nos lo montamos.
No soy especial,
Que va, nunca me he creido excepcional.
Aunque esto si lo es,
Lo que hacemos, nuestro trabajo,
Esto fue el Chojin,
Ah, soy yo soy yo. come on!

(Black bee)
Yo soy libre,
Africa enferma esta fiebre,
Llanto del pueblo es constante,
Dolor de mi gente se siente.
Ohh!, Guinea, ohh!
Añoro el calor, desconozco a mi gente,
Ohh!, Guinea, ohh!
Amor a una patria alejada en mi mente,
Ohh!, Guinea, ohh!
Añoro el calor, desconozco a mi gente,
Ohh!, Guinea, ohh!
Amor a una patria alejada en mi mente.
Ohh!, Guinea, ohh!Juan Antonio (Ghost)

Laisse-moi m'exprimer (avec El Chojin)

(Black Bee)
S'il te plaît, plus de larmes à Ramallah,
Je ne ressens plus le rap comme une parabole,
Pour voler, j'ai besoin du rap sur cette semelle,
Sur cette semelle, je ne fais que marcher dans la merde.
Ohh! Je me limite à écouter
Gramala, Gafa, Afghanistan.
Où sont les croyants du Coran?
Où sont ceux qui te manquent, Saddam?
Eoooo, vivre est un drame,
Laisse-moi m'exprimer en raps comme une forme.
Critique sociale comme norme,
Si tu ne dis rien, tes raps sont une blague.
Eh, je parle de la rue,
Des rappeurs qui attendent que tu échoues,
Des guérillas dans la vallée,
De la Colombie, des flingues, de la Ballalde.

Laisse-moi m'exprimer,
Laisse-moi déployer mes ailes,
Laisse-moi te raconter,
Ce que je vois quand je regarde au fond de mon âme. (Chojin)
J'ai un tas de super pouvoirs
(Comme) mettre sur papier (des morceaux) de styles qui ne font pas mal (ou pas)
Je suis El Chojin et il y a toujours quelque chose dans ma tête
(Comme) rapprocher mes proches (morceaux) - nouvelles cohérentes (ou pas)
J'ai mille yeux quand je marche en ville,
Tous regardent celui qui fait du rap en pensant qu'il va échouer.
Je n'ai pas peur de glisser,
Je l'ai perdu après une vie sur le fil du rasoir.
J'écris avec du sang,
Des expériences qui m'ont rendu grand,
Tout vient de mon cahier taché de phrases,
Je ne sais pas s'il est important de faire passer des messages,
Je sais juste que devant une feuille blanche je mets les idées qui me viennent.
Rap blee is Bee, comme je devrais m'exprimer,
Si j'étais déjà MC avant d'apprendre à me raser,
Dieu lui-même n'a pas le droit de douter de ce que le Cho a fait,
J'ai des raisons de sortir le pétrole.
Assis à mon bureau avec un papier,
Quand je marche dans la rue et qu'ils chuchotent, c'est lui c'est lui,
Je suis juste un idiot et parfois je me déteste parce que
Je n'ai pas été capable de changer le monde comme dans mon quartier.
Même pas le genre de musique que j'écoute dans mes écouteurs,
Il y a des stars de la vie, beurk,
Mes raisons de continuer à mettre de l'écrit sur les rythmes,
Sont les mêmes qu'il y a 15 ans.
C'est ce qui me ronge la tête, ça ne doit pas être sain
Vivre obsédé par l'idée que tout n'est que lettres,
Et j'ai parlé tellement de fois de ra (tu ne parles que de rap)
Et celles qu'il me reste.
Mille choses à apprendre en une seule vie,
Vivre lentement, c'est comme mourir vite,
Comme on dit au Mexique, toujours indépendant,
Black Bee, El Cho, la-laisse-moi m'exprimer

Laisse-moi m'exprimer,
Laisse-moi déployer mes ailes,
Laisse-moi te raconter,
Ce que je vois quand je regarde au fond de mon âme. (Chojin)
2006 est l'année, tu sais?
Black Bee, El Chojin, c'est comme ça qu'on fait.
Je ne suis pas spécial,
Non, je ne me suis jamais cru exceptionnel.
Bien que ce soit le cas,
Ce que nous faisons, notre travail,
C'était El Chojin,
Ah, c'est moi c'est moi. come on!

(Black Bee)
Je suis libre,
L'Afrique malade, c'est cette fièvre,
Les pleurs du peuple sont constants,
La douleur de mon peuple se ressent.
Ohh!, Guinée, ohh!
Je regrette la chaleur, je ne connais pas mon peuple,
Ohh!, Guinée, ohh!
Amour à une patrie lointaine dans mon esprit,
Ohh!, Guinée, ohh!
Je regrette la chaleur, je ne connais pas mon peuple,
Ohh!, Guinée, ohh!
Amour à une patrie lointaine dans mon esprit.
Ohh!, Guinée, ohh! Juan Antonio (Ghost)