Текст и перевод песни Bob Weir - Black-Throated Wind

Black-Throated Wind

Youre bringing me down, Im running aground,
Blind in the lights of the interstate cars,
Passing me by, the busses and the semis,
Plugging like stones from a slingshot from mars.

But Im here on the road, bound to the load,
That I picked up in ten thousand cafes and bars.
Alone with the rush of the drivers that wont pick me up,
The highway, the moon, and clouds and the stars.

Black throated wind, keeps on pourin in,
With its words of a life where nothing is new,
Ah, mother american night, I pass from the light,
Ah, Im drownin in you.

I left st. louie, city of blues,
In the midst of a storm Id rather forget.
I tried to pretend it came to an end,
Cause you werent the women I once thought Id met.

But I cant deny, times have gone by,
Well I never had doubts or thoughts of regret,
And I was a man when all this began,
Who wouldnt think twice about being there yet.

Black throated wind, whisper in sin,
And speaking on life that passes like dew.
Its forced me to see youve done better by me,
Better by me that Ive done by you.

Now whats to be found by racing around,
You carry your pain wherever you go,
Full of blues, and tryin to lose,
You aint gonna learn what you dont wanna know.

So I give you my eyes and all of their lies,
Please help them to learn as well as to see.
Capture a glance, and make it dance,
But looking at you is looking at me.

Black throated wind, keeps on pourin in,
With its words of a life that could almost be true,
Ah, mother american night, here comes a light.
Im turning around, thats what Im gonna do.

Going back home thats what Im gonna do.
Im turning around, thats what Im gonna do.
Going back home thats what Im gonna do.
Cause youve done better by me than Ive done by you,
Im drowning in you.

Vent noir

Tu me fais sombrer, je suis échoué,
Aveugle dans les lumières des voitures de l'autoroute,
Passant à côté de moi, les bus et les semi-remorques,
Frappant comme des pierres d'un lance-pierres venu de Mars.

Mais je suis ici sur la route, lié au fardeau,
Que j'ai ramassé dans dix mille cafés et bars.
Seul avec la hâte des conducteurs qui ne voudront pas me prendre,
L'autoroute, la lune, les nuages et les étoiles.

Vent à la gorge noire, continue à déverser,
Avec ses mots d'une vie où rien n'est nouveau,
Ah, mère américaine de la nuit, je passe de la lumière,
Ah, je me noie en toi.

J'ai quitté St. Louis, ville des blues,
Au milieu d'une tempête que j'aimerais oublier.
J'ai essayé de faire semblant que c'était fini,
Parce que tu n'étais pas la femme que j'avais imaginé rencontrer.

Mais je ne peux pas nier, le temps a passé,
Eh bien, je n'ai jamais eu de doutes ou de regrets,
Et j'étais un homme quand tout cela a commencé,
Qui ne réfléchirait pas à deux fois à être encore là.

Vent à la gorge noire, chuchote dans le péché,
Et parle d'une vie qui passe comme la rosée.
Tu m'as forcé à voir que tu as mieux fait pour moi,
Mieux que ce que j'ai fait pour toi.

Maintenant, qu'est-ce qu'on peut trouver en courant partout,
Tu portes ta douleur où que tu ailles,
Pleine de blues, et en essayant de perdre,
Tu ne vas pas apprendre ce que tu ne veux pas savoir.

Alors je te donne mes yeux et tous leurs mensonges,
S'il te plaît, aide-les à apprendre aussi bien qu'à voir.
Capture un regard, et fais-le danser,
Mais te regarder, c'est me regarder.

Vent à la gorge noire, continue à déverser,
Avec ses mots d'une vie qui pourrait presque être vraie,
Ah, mère américaine de la nuit, voici une lumière.
Je me retourne, c'est ce que je vais faire.

Je rentre chez moi, c'est ce que je vais faire.
Je me retourne, c'est ce que je vais faire.
Je rentre chez moi, c'est ce que je vais faire.
Parce que tu as mieux fait pour moi que ce que j'ai fait pour toi,
Je me noie en toi.