Текст и перевод песни Braulio - Pobre Papa

Pobre Papa

A pesar de todo, te quiero papa
Auque tus achaques no logre aguantar,
Tu absurda ceguera te impide aceptar
Que ya soy un hombre que empieza su andar.

Siempre seré un inexperto a la hora de opinar
Y tu a mi años te escapaste a guerrear,
Frenas mi alegar abierto y te niegas a razonar
Escudándote en tu ferre autoridad.

Tratas de agotar mis sueños acusándome de irrealidad
Y me exiges sumisión a tu verdad,
Quieres seguir siendo el dueño
Que administre bien mi libertad
Y no admites concesión a otro ideal.

Pobre papá, pobre papá
Con tu actitud me perderás,
Pobre papá, pobre papá
Y en la vejez solo estarás.

Ya se que presumes de hacerme bailar
Al son que tu tocas y sin rechistar,
Pero tu absurda ceguera te impide aceptar
Que ya soy un hombre que empieza su andar

Siempre seré un inexperto a la hora de opinar
Y tu a mi años te escapaste a guerrear
Frenas mi alegar abierto
Y te niegas a razonar escudándote en tu ferre autoridad.

Tratas de agotar mis sueños acusándome de irrealidad
Y me exiges sumisión a tu verdad,
Quieres seguir siendo el dueño
Que administre bien mi libertad
Y no admites concesión a otro ideal.

Pobre papá, pobre papá
Con tu actitud me perderás,
Pobre papá, pobre papá
Y en la vejez solo estarás. (3 veces)

Pauvre Papa

Malgré tout, je t'aime papa
Bien que tes maux ne puissent être supportés,
Ta cécité absurde t'empêche d'accepter
Que je suis déjà un homme qui commence son chemin.

Je serai toujours un novice au moment d'exprimer mon opinion
Et tu t'es enfui pour aller à la guerre à mon âge,
Tu freines mon discours ouvert et tu refuses de raisonner
En te cachant derrière ton autorité de fer.

Tu essaies d'épuiser mes rêves en m'accusant d'irréalisme
Et tu exiges de moi la soumission à ta vérité,
Tu veux continuer à être le maître
Qui gère bien ma liberté
Et tu n'admets aucune concession à un autre idéal.

Pauvre papa, pauvre papa
Avec ton attitude, tu me perdras,
Pauvre papa, pauvre papa
Et dans ta vieillesse, tu seras seul.

Je sais que tu te vantes de me faire danser
Au rythme que tu joues et sans broncher,
Mais ta cécité absurde t'empêche d'accepter
Que je suis déjà un homme qui commence son chemin

Je serai toujours un novice au moment d'exprimer mon opinion
Et tu t'es enfui pour aller à la guerre à mon âge
Tu freines mon discours ouvert
Et tu refuses de raisonner en te cachant derrière ton autorité de fer.

Tu essaies d'épuiser mes rêves en m'accusant d'irréalisme
Et tu exiges de moi la soumission à ta vérité,
Tu veux continuer à être le maître
Qui gère bien ma liberté
Et tu n'admets aucune concession à un autre idéal.

Pauvre papa, pauvre papa
Avec ton attitude, tu me perdras,
Pauvre papa, pauvre papa
Et dans ta vieillesse, tu seras seul. (3 fois)