Текст и перевод песни Buena Fe - Gracias por el Fuego

Gracias por el Fuego

Como decía Campoamor
Ten paciencia corazón
Que es mejor a lo que veo
Que es mejor a lo que veo
Deseo sin posesión
Que posesión sin deseo
Déjame ganármelo
No me lo cobres luego a pedradas

No me regales más nada
No me regales
Déjame ganármelo yo
No me lo cobres luego a pedradas

Que yo no soy un medalla de oro
En el torneo de las sugerencias
Yo solo quiero compartir un logro
Que no se base en la extrema paciencia
Pa′l final no arribar al problema
Un buen guión mala puesta en escena
Que no me basta saber mal ajeno
Justificando mi propia desgracia
Ni recitar orgulloso las siglas
Con que se nombra caricia y falacia
Y ya no más salaciones al tiempo
Que no mezcló to' los cuatro elementos
Gracias la tierra, gracias al viento
Gracias al agua y gracias por el fuego

No me regales más nada
No me regales
Déjame ganármelo yo
No me lo cobres luego a pedradas.
No me regales más nada
No me regales más nada
Déjame ganármelo yo
No me lo cobres luego a pedradas

Pero cómo no voy a quererte
Ni de juegos quiero irrespetarte
Lo que pasa es que tanto te quiero
Que con la sonrisa no voy a engañarte
De lo que traen las cigüeñas
Jamás me he confia′o
Porque cambian la ruta
Y nos dejan colga'o
Aparta ese pezón que se ve tentador
Mi camino no fiebra sudor
Quiero ser yo, ser yo
Ser yo, ser yo

No me regales más nada
No me regales
Déjame ganármelo yo
No me lo cobres luego a pedradas

Y que no venga un candil de la calle
A coquetearme con la última moda
Que mis bolsillos saben los detalles
Y repetírmelo ya me incomoda
Una plegaria pa'l codo con codo
Pero mesura pa′l boca con boca
Porque comparto la misma comida
Tengo el derecho a llorarme por dentro
O tú prefieres que diga mentiras
Cuando nos fallan los experimentos
Y yo lo siento pero se me empinan
Verdades de frente al tiempo
Gracias la tierra, gracias al viento
Gracias al agua y gracias por el fuego

No, no, no me regales más nada
No me regales más nada
Déjame ganármelo yo
No me lo cobres luego a pedradas
No me regales más nada
No me regales más nada
Déjame ganármelo yo
No me lo cobres luego a pedradas

No, no, no me regales más nada
No me regales
Déjame ganármelo yo
No me lo cobres luego a pedradas
No me regales más nada
No me regales más nada
Déjame ganármelo yo
No me lo cobres luego a pedradas

Como decía Campoamor
Ten paciencia corazón
Que es mejor a lo que veo
Que es mejor a lo que veo
Deseo sin posesión
Que posesión sin deseo

Merci pour le feu

Comme le disait Campoamor
Sois patiente, mon cœur
C'est mieux que ce que je vois
C'est mieux que ce que je vois
Le désir sans possession
Que la possession sans désir
Laisse-moi me le gagner
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres

Ne me fais plus de cadeaux
Ne me fais pas de cadeaux
Laisse-moi me le gagner moi-même
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres

Car je ne suis pas une médaille d'or
Dans le tournoi des suggestions
Je veux juste partager un exploit
Qui ne repose pas sur une patience extrême
Pour ne pas arriver au problème à la fin
Un bon scénario, une mauvaise mise en scène
Ce n'est pas suffisant pour moi de connaître le malheur des autres
En justifiant mon propre malheur
Ni de réciter avec fierté les acronymes
Avec lesquels on nomme la caresse et la tromperie
Et plus de plaisanteries sur le temps
Qui n'a pas mélangé les quatre éléments
Merci la terre, merci le vent
Merci l'eau et merci pour le feu

Ne me fais plus de cadeaux
Ne me fais pas de cadeaux
Laisse-moi me le gagner moi-même
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres.
Ne me fais plus de cadeaux
Ne me fais plus de cadeaux
Laisse-moi me le gagner moi-même
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres

Mais comment ne pas t'aimer
Je ne veux pas te manquer de respect, même en jouant
Ce qui se passe, c'est que je t'aime tellement
Que je ne vais pas te tromper avec un sourire
De ce que les cigognes apportent
Je ne me suis jamais fié
Parce qu'elles changent de route
Et nous laissent pendus
Enlève ce téton qui semble si tentant
Mon chemin ne brûle pas de sueur
Je veux être moi, être moi
Être moi, être moi

Ne me fais plus de cadeaux
Ne me fais pas de cadeaux
Laisse-moi me le gagner moi-même
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres

Et qu'un lampadaire de la rue ne vienne pas
Me draguer avec la dernière mode
Mes poches connaissent les détails
Et me le répéter me met mal à l'aise
Une prière pour le coude à coude
Mais de la mesure pour la bouche à bouche
Parce que je partage la même nourriture
J'ai le droit de me lamenter en moi-même
Ou préfères-tu que je dise des mensonges
Quand nos expériences échouent
Et je suis désolé, mais je me sens obligé
De dire la vérité face au temps
Merci la terre, merci le vent
Merci l'eau et merci pour le feu

Non, non, ne me fais plus de cadeaux
Ne me fais plus de cadeaux
Laisse-moi me le gagner moi-même
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres
Ne me fais plus de cadeaux
Ne me fais plus de cadeaux
Laisse-moi me le gagner moi-même
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres

Non, non, ne me fais plus de cadeaux
Ne me fais pas de cadeaux
Laisse-moi me le gagner moi-même
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres
Ne me fais plus de cadeaux
Ne me fais plus de cadeaux
Laisse-moi me le gagner moi-même
Ne me le facture pas ensuite à coups de pierres

Comme le disait Campoamor
Sois patiente, mon cœur
C'est mieux que ce que je vois
C'est mieux que ce que je vois
Le désir sans possession
Que la possession sans désir