Текст и перевод песни Bungaro - Pagine

Pagine

Ecco.il fruscio di questo foglio,
Il suo piegarsi al mio volere,
Il suo lasciarsi come sempre abbandonare.
Ecco.il suo stare insieme ad altri,
Il toccarsi con le frasi,
Il mischiarsi con gli accenti,
Mescolarsi.

E per questo siamo pagine scritte bene, scritte male,
Siamo storia e sentimento.

Ecco.c'è un spostamento d'aria,
Siamo il segno che rimane
E anche per questo ricordarci, ricordare.
Quelle.quelle pagine strappate,
Quelle vite calpestate
Senza più parole, senza più parole.

E per questo siamo pagine,
Siamo storia e geografia,
Storia in una fotografia.

Le vedi lontano le rondini ancora tornare.
E in alto e sul campo planare.

Ecco. il fruscio di questo mondo,
Il rumore sottofondo,
Il suo lasciarsi come sempre imprigionare.
Ecco.e dall'economia distante,
E masticare ancora e ancora questo pezzo di pane, questo pezzo di pane.

E per questo siamo pagine
Scritte bene, scritte male,
Siamo storia e sentimento.

Le vedi lontano le rondini ancora tornare.
E in alto e sul campo adagiare.
Le senti tornare che quasi ci sembra vero riuscire a scambiare il nostro inverno in estate.

Ecco il fruscio di questo foglio,
Il suo piegarsi al mio volere,
Il suo lasciarsi come sempre.abbandonare.

Pages

Voici. Le bruissement de cette feuille,
Sa courbure à ma volonté,
Son abandon comme toujours.
Voici. Son être avec les autres,
Se toucher avec les phrases,
Se mélanger avec les accents,
Se mélanger.

Et c'est pour cela que nous sommes des pages bien écrites, mal écrites,
Nous sommes l'histoire et le sentiment.

Voici. Il y a un déplacement d'air,
Nous sommes le signe qui reste
Et aussi pour cela se souvenir, se souvenir.
Ces. Ces pages déchirées,
Ces vies piétinées
Sans plus de mots, sans plus de mots.

Et c'est pour cela que nous sommes des pages,
Nous sommes l'histoire et la géographie,
L'histoire dans une photographie.

Tu vois au loin les hirondelles qui reviennent encore.
Et en haut et sur le champ planer.

Voici. Le bruissement de ce monde,
Le bruit de fond,
Son abandon comme toujours emprisonné.
Voici. Et de l'économie distante,
Et mâcher encore et encore ce morceau de pain, ce morceau de pain.

Et c'est pour cela que nous sommes des pages
Bien écrites, mal écrites,
Nous sommes l'histoire et le sentiment.

Tu vois au loin les hirondelles qui reviennent encore.
Et en haut et sur le champ se poser.
Tu les sens revenir, ce qui nous semble presque vrai, réussir à échanger notre hiver en été.

Voici le bruissement de cette feuille,
Sa courbure à ma volonté,
Son abandon comme toujours. Abandonner.