Текст и перевод песни Caleb Hyles feat. Jonathan Young - The Plagues

The Plagues

Thus saith the Lord:
Since you refuse to free my people
All through the land of Egypt...

I send a pestilence and plague
Into your house, into your bed
Into your streams, into your streets
Into your drink, into your bread
Upon your cattle, on your sheep
Upon your oxen in your field
Into your dreams, into your sleep
Until you break, until you yield
I send the swarm, I send the horde
Thus saith the Lord

Once I called you brother
Once I thought the chance
To make you laugh
Was all I ever wanted...

I send the thunder from the sky
I send the fire raining down

And even now I wish that God
Had chose another
Serving as your foe on his behalf
Is the last thing that I wanted...

I send a hail of burning ice
On ev'ry field, on ev'ry town

This was my home
All this pain and devastation
How it tortures me inside
All the innocent who suffer
From your stubbornness and pride...

I send the locusts on a wind
Such as the world has never seen
On ev'ry leaf, on ev'ry stalk
Until there's nothing left of green
I send my scourge, I send my sword
Thus saith the Lord

You who I called brother
Why must you call down another blow?

I send my scourge, I send my sword

Let my people go

Thus saith the Lord

You who I called brother
How could you have come to hate me so?
Is this what you wanted?

I send the swarm, I send the horde...

Then let my heart be hardened
And never mind how high the cost may grow
This will still be so
I will never let your people go...

Thus saith the Lord
Thus saith the Lord

I will not let your (my) people go

Les Plaies

Ainsi parle le Seigneur :
Puisque tu refuses de libérer mon peuple
Par toute la terre d’Égypte…

J’envoie une pestilence et une plaie
Dans ta maison, dans ton lit
Dans tes ruisseaux, dans tes rues
Dans ta boisson, dans ton pain
Sur ton bétail, sur tes moutons
Sur tes bœufs dans ton champ
Dans tes rêves, dans ton sommeil
Jusqu’à ce que tu cèdes, jusqu’à ce que tu te soumets
J’envoie l’essaim, j’envoie la horde
Ainsi parle le Seigneur

Je t’ai autrefois appelé mon frère
Je pensais autrefois que la chance
De te faire rire
Était tout ce que je voulais…

J’envoie le tonnerre du ciel
J’envoie le feu pleuvoir

Et même maintenant, je souhaite que Dieu
Ait choisi quelqu’un d’autre
Servir comme ton ennemi en son nom
Est la dernière chose que je voulais…

J’envoie une grêle de glace brûlante
Sur chaque champ, sur chaque ville

C’était mon foyer
Toute cette douleur et cette dévastation
Comme ça me torture à l’intérieur
Tous les innocents qui souffrent
De ton entêtement et de ta fierté…

J’envoie les sauterelles sur un vent
Tel que le monde n’en a jamais vu
Sur chaque feuille, sur chaque tige
Jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de vert
J’envoie mon fléau, j’envoie mon épée
Ainsi parle le Seigneur

Toi que j’ai appelé mon frère
Pourquoi dois-tu invoquer un autre coup ?

J’envoie mon fléau, j’envoie mon épée

Laisse mon peuple partir

Ainsi parle le Seigneur

Toi que j’ai appelé mon frère
Comment as-tu pu en arriver à me détester autant ?
Est-ce ce que tu voulais ?

J’envoie l’essaim, j’envoie la horde…

Alors que mon cœur soit endurci
Et ne me soucie pas de la hauteur du coût
Ce sera toujours ainsi
Je ne laisserai jamais ton peuple partir…

Ainsi parle le Seigneur
Ainsi parle le Seigneur

Je ne laisserai pas ton (mon) peuple partir