Текст и перевод песни Calero LDN - Duele

Duele

Esto es Calero LDN compadre
Porque lo que más te llena es lo que más te duele

Aún sigo contando el tiempo que queda
Pa' poner el cielo besando mi suela
Sé que todo esto me valdrá la pena
Tiraré pa'lante por mucho que duela
Y duele, duele, claro que duele
Levantarse temprano sabiendo que no te quieren
No tener una mano que te ayude en tus deberes
Ser un puto desgraciado encerrado en cuatro paredes

Y... No sé qué coño esperais de mí
Siempre hice lo que quise y eso va a seguir así
No hay finales felices, a mí ya no me mentís
Tengo cantando mis penas a medio puto país

Yo nunca me vendí
Sólo aprendí a sacar oro de todo lo que vi gris
Aún sigues presa en mi mente te espero pa' un Vis a Vis
Eres esa herida abierta camuflada en cicatriz

Sí... Soy un jodido infeliz
Y cada vez que te pienso me reviento la nariz
Pero aún tengo un motivo por el que pensar en mí
Y es el de ganar millones cantando lo que sufrí

Últimamente ando mucho de bajón
Encerrao' en mi puta casa llorando en mi habitación
Dándole duro a la grasa, alimentando mi adicción
Escribiendo estas canciones, mezclando odio con amor

Algunos dicen que puede ser depresión
Juro que si eso me pasa pienso sacarle un millón
Porque por suerte o desgracia yo tengo un jodido don
Y ya que me jode tanto que me devuelva el favor

Mi cora es un sapo traidor
Dice que no aguanta el frío, que va a buscar su calor
Acostumbrao' desde crío a este vacío en mi interior
Que ya lo he hecho tan mío que ese vacío soy yo

Y ya no lo llena ni Dios
Es más fácil decir "hola" cuando nunca hubo un "adiós"
Nunca escribí por moda ni lo hice por hip hop
Si no por quitar la soga que hace tiempo ya me ahogó
Que hace tiempo ya me ahogó
Que hace tiempo ya me ahogó
Que hace tiempo ya me ahogó
LDN

Duele

C'est Calero LDN mon pote
Parce que ce qui te remplit le plus, c'est ce qui te fait le plus mal

Je continue de compter le temps qu'il me reste
Pour que le ciel embrasse ma semelle
Je sais que tout ça vaudra la peine
J'irai de l'avant, même si ça fait mal
Et ça fait mal, ça fait mal, bien sûr que ça fait mal
Se lever tôt en sachant que tu ne m'aimes pas
N'avoir personne pour t'aider dans tes tâches
Être un pauvre type enfermé entre quatre murs

Et... Je ne sais pas ce que tu attends de moi
J'ai toujours fait ce que je voulais et ça va continuer comme ça
Il n'y a pas de happy end, tu ne me mens plus
Je chante mes peines à la moitié du pays

Je ne me suis jamais vendu
J'ai juste appris à faire de l'or de tout ce que j'ai vu de gris
Tu es toujours prisonnière dans mon esprit, je t'attends pour un tête-à-tête
Tu es cette blessure ouverte camouflée en cicatrice

Oui... Je suis un pauvre type malheureux
Et chaque fois que je pense à toi, je me pète le nez
Mais j'ai encore une raison de penser à moi
C'est de gagner des millions en chantant ce que j'ai souffert

Dernièrement, je suis très déprimé
Enfermé dans ma maison, je pleure dans ma chambre
Je m'enfonce dans la graisse, nourrissant ma dépendance
J'écris ces chansons, mélangeant la haine et l'amour

Certains disent que c'est peut-être de la dépression
Je jure que si ça m'arrive, je vais en tirer un million
Parce que, par chance ou par malheur, j'ai un sacré don
Et puisque ça me dérange tellement, qu'elle me rende la pareille

Mon cœur est un traître
Il dit qu'il ne supporte pas le froid, qu'il va chercher sa chaleur
Accoutumé depuis tout petit à ce vide en moi
Que je l'ai tellement fait mien que ce vide, c'est moi

Et plus personne ne le remplit
C'est plus facile de dire "bonjour" quand il n'y a jamais eu de "au revoir"
Je n'ai jamais écrit par mode, ni pour le hip hop
Mais pour enlever la corde qui m'a étranglé depuis longtemps
Qui m'a étranglé depuis longtemps
Qui m'a étranglé depuis longtemps
Qui m'a étranglé depuis longtemps
LDN