Текст и перевод песни Carmen Consoli - Autunno Dolciastro (New Version)

Autunno Dolciastro (New Version)

Lentamente tra una pagina e l′altra di un libro qualunque
Ingannavo l'attesa gia′ settembre poche voci distanti e
Un autunno distratto al di la' dei vetri
Quasi speravo che non arrivassi piu'
Quasi credevo che non mi mancassi eppure stavo aspettando
Distrarsi sembrava piuttosto facile
Credevo di sopportare la tua indifferenza
Cercando pretesti e rimedi inutili
Eri tu quel tasto dolente eri tu autunno dolciastro eri tu
Freddamente valutavo i miei limiti
I gesti avventati le frequenti rinunce
Era tardi e bruciavano gli occhi fissavo il soffitto
Il mio letto disfatto
Quasi speravo che non arrivassi piu′
Quasi credevo che non mi mancassi eppure stavo aspettando
Distrarsi sembrava piuttosto facile
Credevo di sopportare la tua indifferenza
Cercando pretesti e rimedi inutili
Credevo di soffocare la mia insofferenza
Eri tu quel tasto dolente eri tu autunno dolciastro
Eri tu quel tasto dolente eri tu
Autunno dolciastro
D′uno dolciastro
D'uno dolciastro
D′uno dolciastro
D'uno dolciastro
D′uno
La-la-la-lay-lay-lay-la-la-layya

Automne Douceâtre (Nouvelle Version)

Lentement, entre une page et l'autre d'un livre quelconque
Je trompais l'attente, déjà septembre, quelques voix lointaines et
Un automne distrait au-delà des vitres
J'espérais presque qu'il n'arriverait plus
J'ai presque cru que tu ne me manquerais pas, et pourtant j'attendais
Se distraire semblait assez facile
Je croyais pouvoir supporter ton indifférence
En cherchant des prétextes et des remèdes inutiles
C'était toi, ce point sensible, c'était toi, automne douceâtre, c'était toi
Je mesurais froidement mes limites
Les gestes précipités, les fréquentes renonciations
Il était tard et mes yeux brûlaient, je fixais le plafond
Mon lit défait
J'espérais presque qu'il n'arriverait plus
J'ai presque cru que tu ne me manquerais pas, et pourtant j'attendais
Se distraire semblait assez facile
Je croyais pouvoir supporter ton indifférence
En cherchant des prétextes et des remèdes inutiles
Je croyais pouvoir étouffer mon impatience
C'était toi, ce point sensible, c'était toi, automne douceâtre
C'était toi, ce point sensible, c'était toi
Automne douceâtre
D'une douceâtre
D'une douceâtre
D'une douceâtre
D'une douceâtre
D'une
La-la-la-lay-lay-lay-la-la-layya