Текст и перевод песни Casey - Phosphenes

Phosphenes

I feel the veins that sit behind my eyes
Grow varicose as gentle light starts
Filtering through fractured blinds
That shade the world from me
You'd always watch me as I'd wax and wane
Fluoxetine and slow decay
Dependence on a medicine is Hell without relief

I am bereft of the ineffable affections I feel I am owed
My vacancy and apathy are all that I have left to show
For years I spent in isolation, for chemicals that took the place
Of fleeting moments in which I found reprieve from misery

And it seems the only solace I'm afforded is now
Instead of wanting to kill myself I just sleep
I guess progress really isn't want I thought it would be
And as I lay supine and let the phosphenes fade after another collapse
I'm left to contemplate if I'm really getting better
Or if I'm just numb to the feeling of falling apart

My dichotomy has always been that I'm scared of burdening those who love me
But knowing I need help before I die afraid and lonely
But maybe it's all in my head

The irony I face is that whenever I try to medicate my aches
It kills the only part of me that makes me want to stay

And as I lay supine and let the phosphenes fade
After another collapse I'm left to contemplate
If I'm really getting better, or if I'm just numb
To the feeling of falling apart

Phosphenes

Je sens les veines qui se trouvent derrière mes yeux
Devenir variqueuses alors que la lumière douce commence
À filtrer à travers les stores brisés
Qui cachent le monde de moi
Tu me regardais toujours alors que je waxais et décroissais
Fluoxétine et lente décomposition
La dépendance à un médicament est l'enfer sans soulagement

Je suis privé des affections ineffables que je crois me devoir
Ma vacuité et mon apathie sont tout ce qu'il me reste à montrer
Pendant des années, j'ai vécu dans l'isolement, pour des produits chimiques qui ont pris la place
De moments fugaces où j'ai trouvé un répit à la misère

Et il semble que le seul réconfort qui m'est offert maintenant est
Au lieu de vouloir me suicider, je dors simplement
Je suppose que le progrès n'est pas ce que je pensais qu'il serait
Et alors que je reste allongé sur le dos et que les phosphènes s'estompent après une autre chute
Je suis laissé à contempler si je vais vraiment mieux
Ou si je suis juste engourdi par le sentiment de me désagréger

Ma dichotomie a toujours été que j'ai peur de devenir un fardeau pour ceux qui m'aiment
Mais sachant que j'ai besoin d'aide avant de mourir de peur et de solitude
Mais peut-être que tout est dans ma tête

L'ironie à laquelle je suis confronté est que chaque fois que j'essaie de soulager mes douleurs
Cela tue la seule partie de moi qui me donne envie de rester

Et alors que je reste allongé sur le dos et que les phosphènes s'estompent
Après une autre chute, je suis laissé à contempler
Si je vais vraiment mieux, ou si je suis juste engourdi
Par le sentiment de me désagréger