Текст и перевод песни Charles Ans feat. Gera MXM - Café

Café

De noche nos pasábamos las horas, hablando de mil cosas por hacer
Y a veces en pequeñas discusiones, llegaba a amanecer
(Y dice algo como...)
Ay, sabes, vine a escribirlo tarde como siempre, el hombre cava dentro de lo que el alma siente
Estoy dormido, recostado en su vientre, rezándole a una Diosa falsa para no perderme
Entre cenizas quizás me vas a encontrar, entre la risa y la brisa, a la orilla del mar
De mí hablan misa y sonrisas me suelen causar, no vale festejar, si es fuera del lugar
Esta es una eternidad, una estampida y tú intentas besarme solo cuando nadie mira
Yo soy de cervezas, humo y tu falda arriba, tú eres de verme mal y dejarme muerto en vida
Querida, hoy vine con mi orquesta de matones a recitarte mala poesía y sentimientos pobres
Hoy vine solo, sin ganas, sin opciones, la vida cobra caro y tú dándome lecciones
Y siempre amanecía con un beso y tú, después me preparabas un café
Y yo me despedía cada día soñando con volver
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Bien, me perdí sin miedos, en tu boca y senos, en tu fuego y celos, velos
Estaban hablando de boda y velo, de besarse tarde tomando ron con hielo
Más todo se rompe si tú no me miras, si me ves viajando, fumando de gira
Meses de trabajo donde no suspiras, meses de peleas, otras diez mentiras
Apúntame a la cuenta que esta noche llego tarde, prefiero volar solo que amarte como cobarde
Me pregunta si arde, y sabes que no miento, más me gano la calle, brillar por un concierto
Siempre fue lo mío, vivirla de cantante, recuerdo te gustaba el malo interesante
Lo vago en mi mirada, lo que pude ser antes y hoy recuerdo todo menos el cómo besarte
Y siempre amanecía con un beso y tú, después me preparabas un café
Y yo me despedía cada día soñando con volver
Y siempre amanecía con un beso y tú, después me preparabas un café
Y yo me despedía cada día soñando con volver
Y siempre amanecía con un beso y tú, después me preparabas un café
Y yo me despedía cada día soñando con volver
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Café

La nuit, on passait des heures à parler de mille choses à faire
Et parfois, dans de petites disputes, l'aube arrivait
(Et il dit quelque chose comme...)
Oh, tu sais, j'ai écrit ça tard comme d'habitude, l'homme creuse dans ce que l'âme ressent
Je suis endormi, allongé sur ton ventre, priant une fausse déesse pour ne pas me perdre
Parmi les cendres, peut-être me trouveras-tu, entre le rire et la brise, au bord de la mer
On parle de moi à la messe, et les sourires me provoquent souvent, ça ne vaut pas la peine de faire la fête, si ce n'est pas à sa place
C'est une éternité, une ruée, et tu essaies de m'embrasser seulement quand personne ne regarde
Je suis à la bière, à la fumée et à ta jupe relevée, tu es à me voir mal et à me laisser mort de vie
Chérie, aujourd'hui je suis venu avec mon orchestre de voyous pour te réciter de la mauvaise poésie et des sentiments pauvres
Aujourd'hui je suis venu seul, sans envie, sans choix, la vie coûte cher et toi tu me donnes des leçons
Et il faisait toujours jour avec un baiser et toi, tu me préparais ensuite un café
Et je te disais au revoir chaque jour en rêvant de revenir
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Bon, je me suis perdu sans peur, dans ta bouche et tes seins, dans ton feu et tes jalousies, tes voiles
On parlait de mariage et de voile, de s'embrasser tard en prenant du rhum avec de la glace
Mais tout se brise si tu ne me regardes pas, si tu me vois voyager, fumer en tournée
Des mois de travail où tu ne soupires pas, des mois de disputes, dix autres mensonges
Inscris-moi à l'addition, car ce soir j'arrive tard, je préfère voler seul que t'aimer comme un lâche
Elle me demande si ça brûle, et tu sais que je ne mens pas, mais je me gagne la rue, briller pour un concert
C'était toujours mon truc, vivre en tant que chanteur, je me souviens que tu aimais le méchant intéressant
Le vague dans mon regard, ce que j'aurais pu être avant, et aujourd'hui je me souviens de tout sauf de la façon de t'embrasser
Et il faisait toujours jour avec un baiser et toi, tu me préparais ensuite un café
Et je te disais au revoir chaque jour en rêvant de revenir
Et il faisait toujours jour avec un baiser et toi, tu me préparais ensuite un café
Et je te disais au revoir chaque jour en rêvant de revenir
Et il faisait toujours jour avec un baiser et toi, tu me préparais ensuite un café
Et je te disais au revoir chaque jour en rêvant de revenir
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