Текст и перевод песни Charlie Robison - John O'Reilly - Live

John O'Reilly - Live

My name is John O'Reilly and my father worked the fields
In the hills of old Kilarny where I helped him turn the wheels
My arms grew hard as iron for a boy of 17
And I used my fists for gambling in those wet Kilarny streets

Well the ship left for America and I brought my pack aboard
Said goodbye to my dear Ireland said a prayer to my dear Lord
But I fought those sorry guineas in the kitchen they called hell
Well I fought them for their dollar and those guineas paid me well

Fair thee well fair dover
Fair thee well your seasons turn
For my pockets will be jingling on the day of my return
The day of my return

Well I fought in New York City and I fought the Jersey shore
My gut stayed full of whiskey and my bed stayed full of whores
Well they called my right a cannonball and my left they called the same
And I left em' all lyin' half in blood and half in shame

Well I met a man on '32 and he stuck out his hand
And he offered me a thousand if I'd fall before his man
Well I said it could be done but only for another two
And he smiled at me and nodded as I stuck it in my shoe

Fair thee well fair dover
Fair thee well your seasons turn
For my pockets will be jingling on the day of my return
The day of my return

Well they rang the bell two times before I let him have my nose
And I let him work my left until my eye was swollen closed
Then I let loose a right that they still talk about today
For that guinea didn't know that I had bet the other way

They covered every dock and every port there on the coast
Looking for that double crosser who had turned into a ghost
But I was on a train my friend that rode the other way
And I'll sail from California back to Dublin one fine day

Fair thee well fair dover
Fair thee well your seasons turn
For my pockets will be jingling on the day of my return
The day of my return

Fair thee well fair dover
Fair thee well your seasons turn
For my pockets will be jingling on the day of my return
The day of my return

John O'Reilly - En direct

Je m'appelle John O'Reilly et mon père travaillait les champs
Dans les collines du vieux Kilarny où je l'aidais à faire tourner les roues
Mes bras sont devenus durs comme du fer pour un garçon de 17 ans
Et j'utilisais mes poings pour le jeu dans ces rues humides de Kilarny

Eh bien, le bateau est parti pour l'Amérique et j'ai pris mon sac à bord
J'ai dit au revoir à ma chère Irlande, j'ai fait une prière à mon cher Seigneur
Mais j'ai combattu ces guinéens misérables dans la cuisine qu'ils appelaient l'enfer
Eh bien, je les ai combattu pour leur dollar et ces guinéens m'ont bien payé

Adieu, belle Douvres
Adieu, tes saisons tournent
Car mes poches seront remplies de billets le jour de mon retour
Le jour de mon retour

Eh bien, j'ai combattu à New York City et j'ai combattu sur la côte du New Jersey
Mon ventre est resté plein de whisky et mon lit est resté plein de putes
Eh bien, ils ont appelé mon droit un boulet de canon et ma gauche ils l'ont appelée de la même façon
Et je les ai laissés tous allongés à moitié dans le sang et à moitié dans la honte

Eh bien, j'ai rencontré un homme sur '32 et il m'a tendu la main
Et il m'a offert mille dollars si je tombais devant son homme
Eh bien, j'ai dit que c'était possible, mais seulement pour deux autres
Et il m'a souri et a hoché la tête alors que je le mettais dans ma chaussure

Adieu, belle Douvres
Adieu, tes saisons tournent
Car mes poches seront remplies de billets le jour de mon retour
Le jour de mon retour

Eh bien, ils ont sonné la cloche deux fois avant que je ne le laisse me prendre le nez
Et je l'ai laissé travailler ma gauche jusqu'à ce que mon œil soit enflé et fermé
Puis j'ai lâché un coup de poing droit dont on parle encore aujourd'hui
Car ce guinéen ne savait pas que j'avais parié de l'autre côté

Ils ont couvert tous les quais et tous les ports de la côte
À la recherche de ce traître qui s'était transformé en fantôme
Mais j'étais dans un train, mon ami, qui roulait dans l'autre sens
Et je naviguerai de Californie jusqu'à Dublin un beau jour

Adieu, belle Douvres
Adieu, tes saisons tournent
Car mes poches seront remplies de billets le jour de mon retour
Le jour de mon retour

Adieu, belle Douvres
Adieu, tes saisons tournent
Car mes poches seront remplies de billets le jour de mon retour
Le jour de mon retour