Текст и перевод песни Cheb Ruben - Intro (Si te hablo de mí)

Intro (Si te hablo de mí)

Cheb Rubën, reproches.

Escupe dramas como quien escupe flemas.
Eh nena, va vestido con chilaba.
Sale a buscarse la muerte cada noche,
Pero ya no se arrepiente si esta vivo a la mañana.
Le preguntan: eh! Rubën qué tramas?
Y tiene la mente en blanco, ahora no piensa en nada.
Quiere estar en casa, tumbado en la cama,
Pensando en mujeres, a las que ya no ama.
O eso piensa el muy insensato
Pero está leyendo cartas que hace tiempo debió haber tirado.
No está tan tarado!
Profesionales le han tratado, pero no han sabido.
Y ahora va por libre, con ese cuore gigante
Que no le cabe de tan grande.
Espera una llamada, destino que no llega.
Deja las drogas tres veces a la semana y vive con la luna.
Siempre ha solido odiarse,
La falta de autoestima siempre fue alarmante.
Últimamente parece sonriente, o eso dicen
Porqué casi nadie le conoce.
Caminando se le ha visto por tu barrio,
Siempre según los rumores, cualquiera sabe.
Un saludo de mi parte si lo veis.
Un saludo sin más, no le molestéis.

Intro (Si te hablo de mí)

Cheb Rubën, reproches.

Tu craches des drames comme celui qui crache des glaires.
Eh ma belle, il est habillé d'une djellaba.
Il sort chercher la mort chaque nuit,
Mais il ne regrette plus s'il est en vie le matin.
Ils lui demandent : eh ! Rubën qu'est-ce que tu trames ?
Et il a l'esprit vide, maintenant il ne pense à rien.
Il veut être à la maison, allongé dans son lit,
Pensant à des femmes, qu'il n'aime plus.
Ou c'est ce que pense ce fou insensé
Mais il est en train de lire des lettres qu'il aurait dû jeter il y a longtemps.
Il n'est pas si stupide !
Des professionnels l'ont soigné, mais ils n'ont pas su.
Et maintenant il est libre, avec ce cœur géant
Qui ne lui rentre pas tellement il est grand.
Il attend un appel, un destin qui ne vient pas.
Il arrête les drogues trois fois par semaine et vit avec la lune.
Il s'est toujours détesté,
Le manque d'estime de soi a toujours été alarmant.
Récemment il semble souriant, ou c'est ce qu'on dit
Parce que presque personne ne le connait.
On l'a vu marcher dans ton quartier,
Toujours selon les rumeurs, qui sait.
Donne-lui mes salutations si tu le vois.
Un simple salut, ne le dérange pas.