Текст и перевод песни クリス・インガム - ビギン・ザ・ビギン(映画『踊るニュウ・ヨーク』より)

ビギン・ザ・ビギン(映画『踊るニュウ・ヨーク』より)

When they begin the beguine
It brings back the sound of music so tender,
It brings back a night of tropical splendor,
It brings back a memory ever green.
I′m with you once more under the stars,
And down by the shore an orchestra's playing
And even the palms seem to be swaying
When they begin the beguine.
To live it again is past all endeavor,
Except when that tune clutches my heart,
And there we are, swearing to love forever,
And promising never, never to part.
What moments divine, what rapture serene,
Till clouds came along to disperse the joys we had tasted,
And now when i hear people curse the chance that was wasted,
I know but too well what they mean;
So don′t let them begin the beguine
Let the love that was once a fire remain an ember;
Let it sleep like the dead desire i only remember
When they begin the beguine.
Oh yes, let them begin the beguine, make them play
Till the stars that were there before return above you,
Till you whisper to me once more,
"Darling, i love you!"
And we suddenly know, what heaven we're in,
When they begin the beguine

Commence la beguine (extrait du film "Le rythme de New York")

Quand la beguine commence
Elle ramène le son de la musique si tendre,
Elle ramène une nuit de splendeur tropicale,
Elle ramène un souvenir toujours vert.
Je suis à nouveau avec toi sous les étoiles,
Et sur le rivage, un orchestre joue
Et même les palmiers semblent se balancer
Quand la beguine commence.
Le revivre est au-delà de tout effort,
Sauf quand cette mélodie saisit mon cœur,
Et nous voilà, jurant de nous aimer pour toujours,
Et promettant de ne jamais, jamais nous séparer.
Quels moments divins, quel ravissement serein,
Jusqu'à ce que les nuages arrivent pour disperser les joies que nous avions goûtées,
Et maintenant, quand j'entends les gens maudire le hasard qui a été gaspillé,
Je sais trop bien ce qu'ils veulent dire ;
Alors ne les laisse pas commencer la beguine
Laisse l'amour qui était autrefois un feu rester une braise ;
Laisse-le dormir comme le désir mort dont je ne me souviens que
Quand la beguine commence.
Oh oui, laisse-les commencer la beguine, fais-les jouer
Jusqu'à ce que les étoiles qui étaient là avant reviennent au-dessus de toi,
Jusqu'à ce que tu me chuchotes une fois de plus,
"Mon chéri, je t'aime !"
Et nous savons soudainement, dans quel paradis nous sommes,
Quand la beguine commence