Текст и перевод песни Christine and the Queens - The walker

The walker

I am out, for a walk
And I will not be back until they're staining my skin
This is how I chose to talk with some violent hits
Violent blossoms akin
Every night I do walk
And if there, looking down not referring my chin
This is how I chose to talk with some violent hits
Violent blossoms akin
That's a way to truly be seen
By furiously scheming in
Forget the jewels
I'm livid, friends are shutting out
Fine on their own
Blood on my cheeks, birds come by
One of my stomps and they fly
People politely smile to make sure I won't come any closer
I am out, for a walk
And I will not be back until they're staining my skin
This is how I chose to talk with some violent hits
Violent blossoms akin
Every night I do walk
And if there, looking down not referring my chin
This is how I chose to talk with some violent hits
Violent blossoms akin
Now
A swollen eye is for days
Of curious calm, snow in May
Way better off on my own
Since no one cries there's no one to blame
It hurts, I feel everything
As my sense of self's wearing thin
Such pains can be a delight
Far from when I could drown in my shame
I am out, for a walk
And I will not be back until they're staining my skin
This is how I chose to talk with some violent hits
Violent blossoms akin
Every night I do walk
And if there, looking down not referring my chin
This is how I chose to talk with some violent hits
Violent blossoms akin
Say now
I chose to talk with violent hits
Blossoms again
Say now
I chose to talk with violent hits
Blossoms again
Say now
I chose to talk with violent hits
Blossoms again
Say now
I chose to talk with violent hits
Blossoms again

Le marcheur

Je suis dehors, pour une promenade
Et je ne reviendrai pas avant qu'elles ne tachent ma peau
C'est comme ça que j'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs violentes apparentées
Chaque nuit, je marche
Et si, là-bas, regardant vers le bas sans toucher à mon menton
C'est comme ça que j'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs violentes apparentées
C'est une façon d'être vraiment vu
En complotant furieusement
Oublie les bijoux
Je suis furieuse, les amis se ferment
Bien seuls
Du sang sur mes joues, les oiseaux passent
Un de mes coups de pied et ils s'envolent
Les gens sourient poliment pour s'assurer que je ne m'approche pas
Je suis dehors, pour une promenade
Et je ne reviendrai pas avant qu'elles ne tachent ma peau
C'est comme ça que j'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs violentes apparentées
Chaque nuit, je marche
Et si, là-bas, regardant vers le bas sans toucher à mon menton
C'est comme ça que j'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs violentes apparentées
Maintenant
Un œil enflé, c'est pour des jours
De calme curieux, de la neige en mai
Bien mieux de mon côté
Puisque personne ne pleure, il n'y a personne à blâmer
Ça fait mal, je ressens tout
Alors que mon sens du moi s'amenuise
Ces douleurs peuvent être un délice
Loin de l'époque où je pouvais me noyer dans ma honte
Je suis dehors, pour une promenade
Et je ne reviendrai pas avant qu'elles ne tachent ma peau
C'est comme ça que j'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs violentes apparentées
Chaque nuit, je marche
Et si, là-bas, regardant vers le bas sans toucher à mon menton
C'est comme ça que j'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs violentes apparentées
Dis maintenant
J'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs encore
Dis maintenant
J'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs encore
Dis maintenant
J'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs encore
Dis maintenant
J'ai choisi de parler avec des coups violents
Des fleurs encore