Текст и перевод песни Chuchú Bermudas - Selva María

Selva María

Te quiero puta porque es tu naturaleza
Voluptuosa grandeza, posta sobre mi mesa
Carita 'e fresa, pero mala
Tenía la certeza
Y desde el segundo uno te asumiste presa
Que Dios te bendiga ese culo
Me dijiste "amén"
Sentiste que lo tenía duro y te aferraste a él
Roza la piel, susurraste "cógeme cruel"
Quince después de rodillas dabas placer
Habitación de hotel, me lo lamías
Entendí que entendías mi sexo por misantropía
Y te pegaba, me rasguñabas, pedías nalgadas, más cachetadas
Aquí no hay rol que interpretar más que el de animal
Menos palabras claves que nos puedan controlar
Te quiero dar y dar hasta que te derrumbes
Sentía tus gritos acariciando mi nombre
Te quiero a golpes, pa' que te arreches
Me los devuelvas y llenarte la boca de leche
Pienso jalarte la melena y retratarte a gusto
Minina me mata que grites "escúpeme el rostro"
Blancos recuerdos, los polvos de tu gusto
Culona lo que más me gusta es que me pidas otro
Pienso jalarte la melena y retratarte a gusto
Morena me mata que grites y cierres los ojos
Armamos uno, besos y humo
Maldita me tienes enfermo, voy a echarte otro

Entrégate a la noche, dale besos a papacho
Que el culote que te gastas ta' buenacho
Quiero comerte a beshos, lamerte el aro estrecho
Chuchú Bermudas va a ensancharte el Catenaccio

Entrégate a la noche, dale besos a papacho
Que el culote que te gastas ta' buenacho
Quiero comerte a beshos, lamerte el aro estrecho
Chuchú Bermudas va a ensancharte el Catenaccio

Selva María

Je t'aime, salope, parce que c'est ta nature
Voluptueuse grandeur, posée sur ma table
Visage de fraise, mais méchante
J'en étais certain
Et dès la seconde un, tu t'es assumée prisonnière
Que Dieu bénisse ce cul
Tu m'as dit "amen"
Tu as senti qu'il était dur et tu t'y es accrochée
Frotte la peau, tu as murmuré "prends-moi cruellement"
Quinze minutes plus tard, à genoux, tu donnais du plaisir
Chambre d'hôtel, tu me le léchais
J'ai compris que tu comprenais mon sexe par misanthropie
Et je te frappais, tu me griffais, tu demandais des fessées, plus de gifles
Il n'y a pas de rôle à jouer ici, sauf celui de l'animal
Moins de mots clés qui pourraient nous contrôler
Je veux te donner et te donner jusqu'à ce que tu t'effondres
Je sentais tes cris caresser mon nom
Je veux te prendre à coups, pour que tu sois excitée
Que tu me les rendes et que je te remplisse la bouche de lait
Je pense te tirer les cheveux et te portraiturer à mon goût
Minine, ça me tue que tu cries "crache-moi au visage"
Blancs souvenirs, les poudres de ton goût
Culona, ce que j'aime le plus, c'est que tu me demandes encore
Je pense te tirer les cheveux et te portraiturer à mon goût
Morena, ça me tue que tu cries et que tu fermes les yeux
On en fait un, des baisers et de la fumée
Maudite, tu me rends malade, je vais t'en mettre un autre

Livres-toi à la nuit, embrasse papacho
Ce cul que tu portes est bon
Je veux te manger à bisous, lécher ton anneau étroit
Chuchú Bermudas va t'élargir le Catenaccio

Livres-toi à la nuit, embrasse papacho
Ce cul que tu portes est bon
Je veux te manger à bisous, lécher ton anneau étroit
Chuchú Bermudas va t'élargir le Catenaccio