Текст и перевод песни Claude Barzotti - Je vous aime

Je vous aime

Les filles et les femmes en jeans ou en dentelle
En bourgeoise, en nana, les louves et les pucelles
Les brunes et les blondes armées de seins si lourds
Où tous les cris du monde s′écrasent en cris d'amour

Et les petites filles aux coquilles de nacre
Et ce goût de myrtille sous les kiosques du parc
Un regard échangé avec une étrangère
Et sa robe d′été mourant dans la lumière

Je vous aime, je vous aime, je vous aime
Je vous aime, je vous aime, je vous aime
Je vous aime

Et la pudeur des cils sur ces miroirs pervers
Cet orage immobile dans ces lacs bien trop clairs
Le parfum de vos lèvres aux couleurs de cerises
Un soupir qui s'achève sur des perles et surprises

Avec ce blanc sourire souvent comme une fleur
Qui éclate en un rire comme un écho du cœur
Et ces traces de sel sur un dos de marquise
Ma main qui fait la belle vers une idée précise

Je vous aime, je vous aime, je vous aime
Je vous aime, je vous aime, je vous aime
Je vous aime

Et le monde connu de ton corps familier
Et ce désir têtu, ta tendresse étonnée
Cette ombre au bas des reins, cette vallée promise
Et les quatre chemins qui mènent à cette église

Et ce triangle d'or, cette lumière noire
Cette plage où s′endort la vie, où meurt la gloire
Les filles et les femmes en jeans ou en dentelle
En bourgeoise, en nana, les louves et les pucelles

Je vous aime, je vous aime, je vous aime
Je vous aime, je vous aime, je vous aime
Je vous aime

Je vous aime, je vous aime, je vous aime
Je vous aime, je vous aime, je vous aime
Je vous aime

Je vous aime

I Love You

The girls and women in jeans or lace
As a bourgeois, as a chick, the she-wolves and the virgins
The brunettes and the blondes armed with such heavy breasts
Where all the cries of the world crash into cries of love

And the little girls with mother-of-pearl shells
And that taste of blueberries under the kiosks in the park
A glance exchanged with a stranger
And her summer dress dying in the light

I love you, I love you, I love you
I love you, I love you, I love you
I love you

And the modesty of the eyelashes on those perverse mirrors
This motionless storm in these lakes much too clear
The perfume of your lips in the colors of cherries
A sigh that ends in pearls and surprises

With this white smile often like a flower
Which bursts out into laughter like an echo of the heart
And these traces of salt on a marquise's back
My hand making beautiful towards a precise idea

I love you, I love you, I love you
I love you, I love you, I love you
I love you

And the known world of your familiar body
And this stubborn desire, your astonished tenderness
This shadow at the foot of the loins, this promised valley
And the four paths that lead to this church

And this golden triangle, this black light
This beach where life falls asleep, where glory dies
The girls and women in jeans or lace
As a bourgeois, as a chick, the she-wolves and the virgins

I love you, I love you, I love you
I love you, I love you, I love you
I love you

I love you, I love you, I love you
I love you, I love you, I love you
I love you

I love you