Текст и перевод песни Cody Jinks - 65 Days in L.a.

65 Days in L.a.

All I did was drink all day in that hell they call L.A.
A southern born man wants a gun in his hand
When he sees how they run that place
Never say I'm better than anyone
Cause Lord knows that I'm not
But that California summer wasn't that hot

We went out there searchin' for something
Instead we all got lost
We were headin' out west and the plans were goin' south
Never counted no cost
By the time I hit Arizona I was on my way to see
Sixty five days in L.A. is enough for me

And I would drink 'till the sun came up
And I was tryin' to find myself
But it's hard to find yourself in a state like that
I was born a runnin' man and anywhere I'm free
But sixty five days in L.A. is enough for me

Been a few good folks out there any and everywhere
We were runnin' down the same things, all about insane
Thinkin' we'd find them out there
Steppin' over bums on the sidewalk
To get back to my front door
And by the middle of August, couldn't take any more

So I loaded up what little I had left
And I bought two packs of smokes
I was haulin' back to my girl, all back to my own
I was born a runnin' man and anywhere I'm free
But sixty five days in L.A. is enough for me

Sixty five days anywhere is too much for me
Too much for me

65 jours à L.A.

Tout ce que j'ai fait, c'est boire toute la journée dans cet enfer qu'ils appellent L.A.
Un homme né dans le Sud veut une arme à feu dans la main
Quand il voit comment ils dirigent cet endroit
Ne dis jamais que je suis meilleur que quiconque
Parce que Dieu sait que je ne le suis pas
Mais cet été californien n'était pas si chaud

On est allé là-bas à la recherche de quelque chose
Au lieu de ça, on s'est tous perdus
On se dirigeait vers l'ouest et les plans allaient vers le sud
On n'a jamais compté le coût
Quand j'ai atteint l'Arizona, j'étais sur le point de voir
Soixante-cinq jours à L.A., c'est assez pour moi

Et je buvais jusqu'à ce que le soleil se lève
Et j'essayais de me retrouver
Mais c'est difficile de se retrouver dans un état comme celui-là
Je suis né pour courir et partout où je suis libre
Mais soixante-cinq jours à L.A., c'est assez pour moi

Il y a eu quelques bonnes personnes là-bas, partout
On courait après les mêmes choses, tout était fou
On pensait les trouver là-bas
On marchait sur les clochards sur le trottoir
Pour revenir à ma porte d'entrée
Et au milieu du mois d'août, je n'en pouvais plus

Alors j'ai chargé ce qu'il me restait
Et j'ai acheté deux paquets de cigarettes
Je retournais à ma fille, à tout ce qui m'appartenait
Je suis né pour courir et partout où je suis libre
Mais soixante-cinq jours à L.A., c'est assez pour moi

Soixante-cinq jours n'importe où, c'est trop pour moi
Trop pour moi