Текст и перевод песни Crosby & Nash - Through Here Quite Often

Through Here Quite Often

I come through here quite often
And I think about you
I come through here quite often
And I wonder what you do

A wrong turn at the corner
I could say I got lost
A confusion of memories
Where two streets crossed

The vision I remember
Is eyes through the steam
Coming off the coffee
And rising off the cream

And I don′t even know you
And I don't mean to stare
But I know what you′re thinking
I can see that you dare to

Care about people and look into their lives
As you hand them a spoon, as you polish the knives
You reach out and touch one every once in a while
With off handed wisdom or a lop-sided smile

Now they say, "Don't talk to strangers"
I say, "Why the hell not?"
If you don't talk to strangers
Tell me, what have you got?

A world without wisdom
A life without laughs
A season of loneliness
And friendships in halves

Do you care about strangers
And look into their lives?
Their sons and their daughters
Their husbands and wives

So I come here for coffee
And I watch your face
To see secret kindness
And watch quiet grace

Je passe souvent par ici

Je passe souvent par ici
Et je pense à toi
Je passe souvent par ici
Et je me demande ce que tu fais

Un mauvais virage au coin de la rue
Je pourrais dire que je me suis perdu
Une confusion de souvenirs
Là où deux rues se croisaient

L'image que je me rappelle
Ce sont tes yeux à travers la vapeur
S'échappant du café
Et montant de la crème

Et je ne te connais même pas
Et je ne veux pas te fixer
Mais je sais ce que tu penses
Je vois que tu oses

Te soucier des gens et regarder leurs vies
Pendant que tu leur tends une cuillère, pendant que tu polis les couteaux
Tu tends la main et touches l'un d'eux de temps en temps
Avec une sagesse spontanée ou un sourire en coin

Maintenant, on dit : "Ne parle pas aux étrangers"
Je dis : "Pourquoi diable pas ?"
Si tu ne parles pas aux étrangers
Dis-moi, qu'est-ce que tu as ?

Un monde sans sagesse
Une vie sans rires
Une saison de solitude
Et des amitiés à moitié

Te soucies-tu des étrangers
Et regardes-tu leurs vies ?
Leurs fils et leurs filles
Leurs maris et leurs femmes

Alors je viens ici pour prendre un café
Et je regarde ton visage
Pour voir une gentillesse secrète
Et observer une grâce silencieuse