Текст и перевод песни D'Callaos - Libre

Libre

Yo quiero ser libre,
Libre como eran los hombres
Como boquita sin nombre
Que susurra a la madrugá.

A mí me decían
Que tuviera cuidado
Que los tiburones
Están en cualquier lado
Y no sabes primo que sorpresa la mía,
Cuando el que me avisaba, me la había pegado.

No quiero contratos que me condicionen
No quiero dinero ni que me traicionen
Yo quiero cantar mis penas cuando me ahoguen,
Y reírme contigo cuando tú me llores.

Yo quiero ser libre,
Libre como eran los hombres
Como boquita sin nombre
Que susurra a la madrugá.

Si me tiran al suelo, me vuelvo a levantar
También me caía cuando empecé a andar
Yo quiero vivir de lo que el aire me da
Y seguir mi camino sin mirar a atrás.

Y a quien me ponga trabas le canto esta canción
Y a quien me robe mis sueños le canto esta canción
Quizás mañana me encuentre muerta de hambre y
No tenga para tabaco, pero tendré ilusión.

Yo quiero ser libre,
Libre como eran los hombres
Como boquita sin nombre
Que susurra a la madrugá...

Libre

Je veux être libre,
Libre comme les hommes l'étaient
Comme une bouche sans nom
Qui murmure à l'aube.

On me disait
Que je devrais faire attention
Que les requins
Sont partout
Et tu ne sais pas, mon cher, quelle surprise j'ai eue,
Quand celui qui me mettait en garde, m'a piégé.

Je ne veux pas de contrats qui me conditionnent
Je ne veux pas d'argent ni qu'on me trahisse
Je veux chanter mes peines quand elles me submergent,
Et rire avec toi quand tu pleures.

Je veux être libre,
Libre comme les hommes l'étaient
Comme une bouche sans nom
Qui murmure à l'aube.

Si on me jette au sol, je me relève
Je tombais aussi quand j'ai commencé à marcher
Je veux vivre de ce que l'air me donne
Et suivre mon chemin sans regarder en arrière.

Et à celui qui me met des obstacles, je chante cette chanson
Et à celui qui me vole mes rêves, je chante cette chanson
Peut-être que demain je me retrouverai mort de faim et
Je n'aurai pas de tabac, mais j'aurai de l'espoir.

Je veux être libre,
Libre comme les hommes l'étaient
Comme une bouche sans nom
Qui murmure à l'aube...