Текст и перевод песни DJ Ötzi - Sweet Caroline - Single Version

Sweet Caroline - Single Version

Where it began, I can't begin to know when
But then I know it's growing strong
Oh, wasn't the spring
And spring became the summer
Who'd believe you'd come along
Hands, touching hands, reaching out
Touching me, touching you
Sweet Caroline
Good times never seem so good (so good, so good, so good)
I've been inclined to believe it never would
And now I, I look at the night
And it don't seem so lonely
We fill it up with only two
And when I hurt
Hurting runs off my shoulder
How can I hurt when holding you?
One, touching one, reaching out
Touching me, touching you
Sweet Caroline
Good times never seem so good (so good, so good, so good)
I've been inclined to believe it never would
One, two, three sing!
Sweet Caroline, good times never seem so good (so good, so good, so good)
I've been inclined to believe it never would
Sweet Caroline, good times never seem so good
Sweet Caroline...

Sweet Caroline - Version simple

Je ne sais pas où ça a commencé, je ne sais même pas quand,
Mais je sais que ça devient de plus en plus fort,
Oh, c'était le printemps,
Et le printemps est devenu l'été,
Qui aurait cru que tu viendrais,
Des mains, se touchant, s'étendant,
Me touchant, te touchant,
Ma douce Caroline,
Les bons moments ne semblent jamais aussi bons (si bons, si bons, si bons),
J'avais tendance à croire que ça n'arriverait jamais,
Et maintenant, je regarde la nuit,
Et elle ne semble pas si solitaire,
On la remplit à deux,
Et quand je suis blessé,
La douleur glisse de mon épaule,
Comment pourrais-je être blessé quand je te tiens dans mes bras?
Une, touchant une, s'étendant,
Me touchant, te touchant,
Ma douce Caroline,
Les bons moments ne semblent jamais aussi bons (si bons, si bons, si bons),
J'avais tendance à croire que ça n'arriverait jamais,
Un, deux, trois, chante!
Ma douce Caroline, les bons moments ne semblent jamais aussi bons (si bons, si bons, si bons),
J'avais tendance à croire que ça n'arriverait jamais,
Ma douce Caroline, les bons moments ne semblent jamais aussi bons,
Ma douce Caroline...