Текст и перевод песни Suzanne Vega - Zephyr & I

Zephyr & I

Zephyr & I stand out on
West End Avenue
Talking about the things that
All of us used to do

And the wind kicks up with the smell of rain
The kids are gone but the souls remain

Zephyr and I sort out our
Long time memories
Do you remember, he says,
The 1970's

This was a youth mall
Of America on this street
All of us hanging here
Like underage cops on a beat

And the wind kicks up in the smell of rain
Now the kids are gone but their souls remain
The graffiti goes but the walls retain
The flowers go but the earth must still remain

In spring the tide in Riverside
Will wash away the cold and frozen
River rain will clean the stain and
Wash away wash away downstream

Out on the corner by the
Fireman's Monument
This was the place where all the
Fatherless teenagers went

Well the wind kicks up in the smell of rain
The kids are gone but the souls remain
The graffiti's gone and the walls complain
The flowers go but the earth must still remain

Zéphyr et moi

Zéphyr et moi, nous nous tenons sur
West End Avenue
Parlant des choses que
Nous faisions tous

Et le vent se lève avec l'odeur de la pluie
Les enfants sont partis, mais leurs âmes restent

Zéphyr et moi, nous remettons en ordre nos
Souvenirs de longue date
Tu te souviens, dit-il,
Des années 1970

C'était un centre commercial pour les jeunes
De l'Amérique dans cette rue
Nous étions tous là, à traîner
Comme des policiers mineurs en patrouille

Et le vent se lève avec l'odeur de la pluie
Maintenant, les enfants sont partis, mais leurs âmes restent
Le graffiti est parti, mais les murs conservent
Les fleurs sont parties, mais la terre doit rester

Au printemps, la marée à Riverside
Va emporter le froid et le gel
La pluie de la rivière va nettoyer la tache et
Emmener emporter en aval

Au coin de la rue, près du
Monument des pompiers
C'était l'endroit où tous les
Adolescents sans père allaient

Eh bien, le vent se lève avec l'odeur de la pluie
Les enfants sont partis, mais leurs âmes restent
Le graffiti est parti et les murs se plaignent
Les fleurs sont parties, mais la terre doit rester