Текст и перевод песни Danny Deadweight - ENDE

ENDE

Ich hab's dir gesagt
Doch du konntest dich nicht fernhalten
Irr draussen herum
Guck in den Himmel wie 'ne Sternwarte
Frag mich jeden Tag
Welche deiner Worte leer waren
Kann es nicht aushalten
In meinem Schädel kämpfen Heerscharen
Hatte drei Dinge
Jetzt sind nur noch zwei
Musik und meine Brüder
Jeder ist ein Urgestein
Rauch 'nen ganzen Tabak
Meine tote Lunge pfeift
Das einzig hörbare Geräusch
Doch in mir drin ein stummes Schreien
Seit sie fort ist
Ist die Welt ein dunkler Ort
Will zwar daran arbeiten
Doch hab mit dir den Grund verloren
Suhle mich im Dreck
Zieh weisses Pulver durch ein Kupferrohr
Stumpfe Dornen
Welche sich durch die Fingerkuppen bohr'n
Ja
Letzten Sommer war noch alles gut
Bis vor Kurzem
Dann gings Schlag auf Schlag wie bei 'ner Abrisskugel
Zwar ist stets die Wahrheit sagen eine respektable Tugend
Würd lieber die Lüge leben als 'nen weiteren Tag zu bluten
Ich war nicht immer da als du mich brauchtest
Jetzt bräucht ich dich, kein guter Zeitpunkt um zu tauschen
Was bleibt mir außer mir dir Scheiße reinzusaufen
Kreidebleiche Haut und tiefe eingefallene Augen

Ende, Ende
Hab versucht dich zu vergessen
Ende, Ende
Tiefe Wunden von deinen Fängen
Ende, Ende
Eine Kugel verspricht Rettung
Ende, Ende
Alles Gute nimmt sein Ende

Ein bisschen von uns starb in diesem Videocall
Ohne dich wär ich die letzten beiden Winter erfroren
Ersetze dich durch Alkohol
Ich trink im Akkord
Schluck die Pille runter
Fühle mich wie wiedergeboren
Jetzt ist eh alles egal
Der rote Hörer hat's beendet
Auf Wörter die verletzen
Folgt ein hörbares Zerbrechen
Man ich stöhne vor Anstrengung
Ganzer Körper ist am brennen
Es ist unerträglich
Wann verklingen die Störgeräusche endlich
Ich saß stundenlang im Flieger um gebrochen zu werden
Rostige Nägel und ein Dolch in meinem Herzen
Der Funke ist erloschen wie der Docht von den Kerzen
Warum musst dus mir auch noch mit deinen Worten erschweren
Wirklich hör doch bitte einfach mit den Kosenamen auf
Viel zu viele Kopfficks
Unsere Wohnung ist verraucht
Ich dreh durch
Gedanken sind am toben, raste aus
Setze einen Fuß vor die Tür und ein Vogelschwarm schreckt auf

Ende, Ende
Hab versucht dich zu vergessen
Ende, Ende
Tiefe Wunden von deinen Fängen
Ende, Ende
Ist das Blut an meinen Händen
Ende, Ende
Alles Gute nimmt sein Ende

Ich merk die letzten Wochen Stück für Stück
Dass bedeutungslose Hookups dieses Loch einfach nicht füll'n
Die ganze Zeit dazwischen wird mit saufen überbrückt
Aufstehen nicht geglückt
Die Laune ist bedrückt
Würd sie so gern anschreiben
Doch ich muss meinen Mann stehen
100 tolle Bilder
Darf mir keines davon ansehen
Man weiß, die Zeit wird helfen
Aber nur wenn man Abstand nimmt
Und ich weiß, dass es dauert
Aber gottverdammt wie lang denn
Dachte wirklich unsere Story endet anders
Dass ich irgenwann mit 70 mit dir seelenruhig einschlaf
Stattdessen holt mich bald das rote Wesen mit dem Dreizack
Keine weit'ren 50 Jahre mit meinem Mädchen
Keine Heirat
Wirklich nur wegen dir wollt ich überhaupt so alt werden
Leben ne tortur
Muss mir Betäubungsmittel einwerfen
Wirst erst von mir hören
Wenn verstörte Polizeischergen
Meinen toten Körper aus den Tiefen eines Walds bergen
Ende

FIN

Je te l'avais dit,
Mais tu n'as pas pu rester loin.
Tu erres dehors,
Regardant le ciel comme un observatoire.
Tu me demandes chaque jour
Lesquels de tes mots étaient vides.
Je ne peux pas le supporter,
Des armées s'affrontent dans ma tête.
J'avais trois choses,
Maintenant il n'en reste que deux :
la musique et mes frères,
Chacun d'eux est un roc.
Je fume tout un paquet,
Mes poumons morts sifflent,
Le seul bruit audible.
Mais à l'intérieur, un cri silencieux.
Depuis que tu es partie,
Le monde est un endroit sombre.
Je veux bien y travailler,
Mais j'ai perdu la raison avec toi.
Je me vautre dans la boue,
Aspirant de la poudre blanche à travers un tube de cuivre.
Des épines émoussées
Qui me transpercent le bout des doigts.
Oui,
L'été dernier, tout allait bien,
Jusqu'à récemment,
Puis tout s'est enchaîné comme avec une boule de démolition.
Dire toujours la vérité est une vertu respectable,
Je préférerais vivre dans le mensonge que de saigner un jour de plus.
Je n'ai pas toujours été là quand tu avais besoin de moi,
Maintenant j'ai besoin de toi, ce n'est pas le bon moment pour échanger.
Que me reste-t-il à part me noyer dans la merde ?
Peau blanche comme du craie et yeux profondément enfoncés.

Fin, fin,
J'ai essayé de t'oublier.
Fin, fin,
Des blessures profondes de tes griffes.
Fin, fin,
Une balle promet le salut.
Fin, fin,
Tout ce qui est bon prend fin.

Un peu de nous est mort dans cet appel vidéo,
Sans toi, j'aurais gelé ces deux derniers hivers.
Je te remplace par l'alcool,
Je bois à la chaîne,
J'avale la pilule,
Je me sens renaître.
Maintenant, tout est de toute façon égal,
Le combiné rouge y a mis fin.
Sur les mots qui blessent
Suit une rupture audible.
Mec, je gémis d'effort,
Tout mon corps est en feu,
C'est insupportable.
Quand est-ce que ces parasites vont enfin disparaître ?
J'ai passé des heures dans l'avion pour être brisé,
Des clous rouillés et une dague dans mon cœur.
L'étincelle s'est éteinte comme la mèche des bougies,
Pourquoi devais-tu me le rendre encore plus difficile avec tes mots ?
S'il te plaît, arrête d'utiliser ces petits noms,
Trop de maux de tête.
Notre appartement est enfumé,
Je tourne en rond,
Les pensées s'emballent, je deviens dingue.
Je mets un pied dehors et une volée d'oiseaux s'envole.

Fin, fin,
J'ai essayé de t'oublier.
Fin, fin,
Des blessures profondes de tes griffes.
Fin, fin,
Est-ce du sang sur mes mains ?
Fin, fin,
Tout ce qui est bon prend fin.

Je me rends compte au fur et à mesure des dernières semaines
Que des coups d'un soir sans importance ne combleront pas ce vide.
Tout le temps entre les deux est noyé dans l'alcool,
Je n'ai pas réussi à me relever,
L'ambiance est lourde.
J'aimerais tellement lui écrire,
Mais je dois rester fort.
100 belles photos,
Je ne peux en regarder aucune.
On sait que le temps aidera,
Mais seulement si on prend ses distances.
Et je sais que ça prend du temps,
Mais putain, combien de temps ?
Je pensais vraiment que notre histoire se terminerait différemment,
Que je m'endormirais paisiblement avec toi à 70 ans.
Au lieu de ça, la créature rouge au trident viendra me chercher bientôt,
Plus de 50 ans avec ma chérie,
Pas de mariage.
En réalité, c'est uniquement pour toi que je voulais vieillir autant.
La vie est une torture,
Je dois prendre des analgésiques.
Tu n'entendras parler de moi que
Lorsque des policiers perturbés
Sortiront mon corps sans vie des profondeurs d'une forêt.
Fin