Текст и перевод песни Darmo - Historias

Historias

Ya no se ven amaneceres como los que hubo ayer
Los días del todo o nada del na que perder
Las ganas de echar a correr el viernes por la tarde
Las peleas en el parque, el joder por joder
Escupíamos al mundo ya desde bien cachorros
Llorando de la risa dentro del calabozo
Siempre nos sudó la polla el cuándo y el cómo
Fronteabamos codo con codo, putos anti todo
Vida plagada de luces y sombras,
La fama, las drogas, las grupis locas
Las exnovias, beber a solas,
Cuentas pendientesy más funerales que bodas
Y ya que vamos del palo de que todo nos importa
Prefiero que te pases a que te quedes corta
Sin medias tintas, con penas y glorias
Con mala letra y tachones pero es mi historia
He tomao champagne de mil pavos siendo un muerto de hambre
Viendo el caviar en el Palace un miércoles tarde
Con el tiempo aprendí a no juzgarme
Hoteles de cinco durmiendo en el parque
Desde que te fuiste no he parado quieto
He faltao al respeto, he quemao en la noche el neto
Me he perdido tanto que no se quien ha escrito esto
Madre mía to lo que me he puesto
Yo he jugado fuerte, no temí a la muerte
He quemado penas en los peores baños y antros
No siempre se gana, a veces tienes que joderte
Coger las lecciones y ver que no era pa tanto
Sin punto medio, fumándoseme ansia a placasde cien G's,
A caraperro los macas, vivo al mes
Sueño paz en una hamaca
Por tus ojos nena, porque esas miradas matan
No hay nada que se pueda hacer, (nada que se pueda hacer)
Tendría que volver a nacer
Y aplicar lo que se para nunca volver a meter pata
Nunca más
No hay nada que se pueda hacer (nada que se pueda hacer)
Tendría que volver a nacer (volver a nacer)
Para no ser una rata
Para no ser una rata
Si hablo de pasta de vicios o delitos
Po me repito, yo ya hablé de to
Un mal actor en un papel maldito,
Nada es gratuito, ni vuestro amor
Tiré la llave pa no regresar a ese sitio
Mejor dormir en keli calentitoy corté con to
Se me cayeron los mitos
Drogándose en el baño de un garitoy peleé con Dios
Si otra vez le necesito juro no volver a llamarlo a gritos
Juro no prestar juramento a ningún distrito
Es julio no julito
Y lo sabes, he sido tu papito
Voy a las malas, no lo recuerdo
Tengo mis taras todas ancladas al lado izquierdo
He sido bala y he sido invierno
Me relajaba coger tu cara y pegarte un muerdo
Me fume 10 gramos en un día por el ansia
Hice mil favores no me dieron ni las gracias
Jugando a las cartas en Montera hasta las tantas
Lo que entra se gasta, esnifando las ganancias
Tardes de cubatas por la plaza
Noches con la fafa y drogas de farmacia
Bailé con la guapa con la guarra y con la rancia
Me echan del garito como a Benzema de Francia
Original kush es mi fragancia, potencia mi ataraxia
Le hecho tres seguidos si esa cala no me sacia
Me muevo en el Bima, no en el Lancia
Repitiendo un chiste que no hace ni puta gracia
Soy yo y mis circunstancias, vosotros xilocaina
Yo pico como en la mina cuando hablamos de sustancias
En chándal pero con elegancia,
Dólares dolores y amores sin distancia
No hay nada que se pueda hacer, (nada que se pueda hacer)
Tendría que volver a nacer
Y aplicar lo que se para nunca volver a meter pata
Nunca más
No hay nada que se pueda hacer (nada que se pueda hacer)
Tendría que volver a nacer (volver a nacer)
Para no ser una rata
Para no ser una rata

Histoires

On ne voit plus de levers de soleil comme ceux d'hier,
Ces jours de tout ou rien, où on n'avait rien à perdre.
L'envie de s'enfuir le vendredi soir,
Les bagarres au parc, foutre le bordel pour le plaisir.
On crachait sur le monde depuis tout petit,
Pleurant de rire au fond du panier à salade.
On s'en foutait du quand et du comment,
On faisait front, coude à coude, putain d'anti-tout.
Une vie faite de hauts et de bas,
La gloire, la drogue, les groupies folles,
Les ex, boire en solitaire,
Des comptes à régler et plus d'enterrements que de mariages.
Et puisqu'on parle de choses qui comptent,
Je préfère que tu exagères plutôt que tu en dises trop peu.
Sans demi-mesure, avec ses peines et ses gloires,
Avec sa mauvaise écriture et ses ratures, c'est mon histoire.
J'ai bu du champagne à mille balles en étant fauché,
Regardant le caviar au Palace un mercredi après-midi.
Avec le temps, j'ai appris à ne pas me juger,
Des hôtels cinq étoiles en dormant dans la rue.
Depuis que tu es partie, je n'ai pas arrêté de bouger,
J'ai manqué de respect, j'ai brûlé la nuit,
Je me suis tellement perdu que je ne sais pas qui a écrit ça.
Putain, tout ce que j'ai pu me mettre...
J'ai joué gros, je n'ai pas eu peur de la mort,
J'ai brûlé mes peines dans les pires chiottes et les pires bars.
On ne gagne pas à tous les coups, parfois il faut savoir encaisser,
En tirer des leçons et se rendre compte que ce n'était pas si grave.
Sans demi-mesure, à fumer mon anxiété en plaquettes de cent grammes,
À manger des McDo au visage pâle, vivant au jour le jour.
Je rêve de paix dans un hamac,
Pour tes yeux bébé, parce que ces regards tuent.
Il n'y a rien à faire, (rien à faire),
Il faudrait que je renaisse
Et que j'applique ce que je sais pour ne plus jamais me planter.
Plus jamais.
Il n'y a rien à faire (rien à faire),
Il faudrait que je renaisse (renaître)
Pour ne plus être un rat.
Pour ne plus être un rat.
Si je parle d'argent, de vices ou de crimes,
Je me répète, j'ai déjà tout dit.
Un mauvais acteur dans un rôle maudit,
Rien n'est gratuit, même pas ton amour.
J'ai jeté la clé pour ne pas retourner là-bas,
Mieux vaut dormir au chaud dans une cellule, j'ai tout plaqué.
Mes illusions sont tombées,
Me droguant dans les toilettes d'un rade, je me suis battu avec Dieu.
Si j'ai encore besoin de lui, je jure de ne plus l'appeler à l'aide.
Je jure de ne plus prêter serment à aucun quartier.
On est en juillet, pas Julito.
Et tu le sais, j'ai été ton papito.
Je vais mal, je ne m'en souviens pas.
J'ai mes tares, toutes ancrées du côté gauche.
J'ai été une balle et j'ai été l'hiver.
Ça me détendait de prendre ton visage et de te mordre.
J'ai fumé dix grammes en un jour par anxiété,
J'ai rendu mille services, on ne m'a même pas remercié.
Jouer aux cartes à Montera jusqu'à pas d'heure,
Ce qui rentre est dépensé, sniffant les gains.
Des après-midi à siroter des verres sur la place,
Des nuits avec la beuh et les médicaments de la pharmacie.
J'ai dansé avec la belle, la moche et la vieille,
On me vire du bar comme Benzema de l'équipe de France.
L'Original Kush, c'est mon parfum, ça alimente mon ataraxie.
J'en tire trois d'affilée si cette latte ne me suffit pas.
Je roule en BMW, pas en Lancia,
Répétant une blague qui ne fait même pas rire.
C'est moi et mes problèmes, vous la xylocaïne.
Je suis au sommet quand on parle de substances,
En survêtement mais avec élégance,
Dollars, douleurs et amours sans distance.
Il n'y a rien à faire, (rien à faire),
Il faudrait que je renaisse
Et que j'applique ce que je sais pour ne plus jamais me planter.
Plus jamais.
Il n'y a rien à faire (rien à faire),
Il faudrait que je renaisse (renaître)
Pour ne plus être un rat.
Pour ne plus être un rat.