Текст и перевод песни Dario Gomez - Pensando en Ella

Pensando en Ella

Desde que nos conocimos,
Comprendió que yo la amaba,
El corazón compartimos,
La forma en que nos quisimos,
Ni en la tumba se olvidaba.

Aunque en su casa me odiaban,
Por ser un pobre infeliz,
Pensando en ella primero,
Salí en busca de dinero,
Y así poder ser feliz.

Le dije adiós amor mío,
Me voy, pero volveré,
Mi ausencia en ti la confío,
Yo nunca te olvidaré.

Me dio un beso como abrigo,
Respondió con un suspiro,
Por siempre te esperaré.

Pero sus padres guardaron,
Conmigo el odio maldito.
Y aprovecharon mi ausencia,
Fue así como la obligaron,
A casarse con un rico.

Regrese justo en su boda,
Y de todo me enteró,
No puedo amar a ese hombre,
El rico no es más que el pobre,
Soy tuya y nada pasó.

Y así cobre mi venganza,
A todos se les cumplió,
El amor nace del alma,
Lo manda es el corazón.

El rico no es más que el pobre,
A Cesar lo que es del Cesar,
Y no hay otra explicación.

Pensando en Ella

Depuis que nous nous sommes rencontrés,
Tu as compris que je t'aimais,
Nous avons partagé nos cœurs,
La façon dont nous nous sommes aimés,
Même dans la tombe, tu ne l'oublieras pas.

Même si ta famille me détestait,
Pour être un pauvre malheureux,
Pensant à toi en premier,
Je suis parti à la recherche d'argent,
Et ainsi pouvoir être heureux.

Je t'ai fait mes adieux, mon amour,
Je pars, mais je reviendrai,
Je confie mon absence à toi,
Je ne t'oublierai jamais.

Tu m'as donné un baiser comme un manteau,
Tu as répondu avec un soupir,
Je t'attendrai pour toujours.

Mais tes parents ont gardé,
Avec moi la haine maudite.
Et ils ont profité de mon absence,
C'est ainsi qu'ils t'ont obligée,
A te marier avec un riche.

Je suis revenu juste le jour de ton mariage,
Et j'ai tout appris,
Je ne peux pas aimer cet homme,
Le riche n'est pas plus que le pauvre,
Je suis à toi et rien ne s'est passé.

Et ainsi, je me suis vengé,
Tout le monde a été récompensé,
L'amour naît de l'âme,
C'est le cœur qui commande.

Le riche n'est pas plus que le pauvre,
A César ce qui est à César,
Et il n'y a pas d'autre explication.