Текст и перевод песни Davodka feat. Cenza - Mise a flow

Mise a flow

Tu reconnais l'impact du c-me qui pose
Qui parle d'une vie de chien, ça sans donner la patte
Tu te prends pour un crack donc v'là l'ecchymose
Je t'envoie vers les cieux car j'ai rodé la cape
Très loin de la magie de Disney
Tous les flics te cuisinent parce que là t'es fait comme un rat
Ça sonne comme un viol auditif
Autant dire que je viens de rentrer dans l'arène comme un roi
La vie est un combat quand on débite y a pas de coups bas
C'est un complot tu l'as compris juste un couplet et le coup part
Alors crois pas que les dégâts se minimisent
On t'élimine, c'est DVK qui pose en tête pour mieux repousser ses limites
Passons à l'attaque, arrêtons de bavarder
C'est salaud quand les poulets se feront canarder
Ça cavale sans lâcher, ramasse à la chaîne, j'ai pas la santé, trinquez à la mienne
Les flics te ramassent à force de faire le dur
Le fric te nargue, c'est le nerf de la guerre
Moi je m'en fous de la caillasse, j'ai tellement fait le mur
Que je reste de marbre quand on me jette la pierre
Je défonce les barrages même en manquant d'air pur
On se cache dans le noir, coincé dans ma tanière
Ça travaille mes méninges, le regard vers la lune
Et ma rage se dévoile pour hisser ma bannière
Je prends une bouffée d'air, tout est dead
J'roule des pers' te casse la bouche et tout déferle
Tu veux du bête de son, on débarque dans l'heure
Si tu crois qu'on tourne en rond c'est que t'as le compas dans l'œil
Écoute cette douce mélodie qui résonne
C'est le récit d'une cigale parmi les cafards
J'admire ma ville et puis je me questionne
Comme ce gosse qui est à peine sorti du placard
J'ai peur que mon heure sonne alors j'utilise ma feuille comme recueil
Approche ton oreille et t'entendras le vent qui souffle dans mon porte-feuille
Elle marque une page cette drôle d'époque
Et j'ai tellement la rage que mon son te dévore
Ouais, je suis dans les parages et ça décore les stores
Je décrasse les oreilles tout comme Destop
Il faut que l'on crame le corps des porcs
Sur le beat on s'exclame, on défonce les portes
Soit tu fonces dans le tas et t'ignores les stops
Ou tu passes à la trappe tout comme Money Drop
On passe à l'attaque, là tu te manges cette frappe
Tu digères la claque car je marche aux rabbats
Et les flics me traquent quand je flaire l'arnaque
J'ai toujours eu le traque pour le sort de mes proches
On me dit mais Davodka dans combien de temps vas-tu percer
Là n'est pas la question donc je me lance comme le RC
Pour faire de l'argent combien de sang vas-tu verser
Moi j'avance pas comme un mouton face à l'étoile du berger
J'suis un satellite autour d'une 'teille ma vie gravite
Le jaune et le rouge font un carton
Les siffler ça reste mon libre arbitre
C'est l'heure de la mise au poing
Tu goûteras mes phalanges tant que tu baves
Et si tu veux de l'air pur, t'as qu'un pot d'échappement comme tuba
Ici t'as pas d'ami tu te manges des patates la nuit
Quand les tapins tapinent loin du soleil de Pointe-a-Pitre
Parce que le vice qui mène au mal, écoute la zik d'un mélomane
On aplatit ta tête ovale et toute ma clique a l'air au max
Le doigt sur la détente, c'est tentant, c'est entêtant
Et sans détail le son t'étonne, sans tes thunes, sans tes dents
C'est l'attentat qu'a retenti tant attendu qui met des tartes
Ça détonne, tout est à terre, ça t'étonne et tu détales
Au total on met des taules à ces têtards eb tête d'affiche
En tête à tête on te termine, dans cet état on te tétanise, on t'atomise
Si t'es tenté j'ai la patate, celui qui t'enterre c'est Davodka
Du tout au tout en un couplet qui plie ton thème
Ouais, ouais, ouais, ouais
Hein, hein
Davodka
Cenza, L'uZine, (MSB)
J'arrache le beat, attrape le titre
Rafaler les flics, c'est ma tournée
Avale ma rime, attache le shit
Pour passer la douane à fond dans la journée
La rapidité sur une instru' ne vient pas d'être inventée
Je la rappe, je n'm'enfile pas de la trap
Peux-tu sentir en toi la puissance s'écrouler
Ma rime m'éclabousse à chaque fois qu'je la frappe
Sur les petits mais t'es vert, quand je prend le micro là
Pour le fêler sans me freiner
De laisser brûler de la fumée, de la sceller dans des CD's
Obsédé d'idées de mener ma secte de fêlé, ah
Quand je pète le beat, à l'habitude
Le bitume et le béton
Pas de bâton ni le maton ne m'empêcheront de balader tous ces pédés
Rafalés, dans mes chansons
Charge les bastos, nettoie le matos
Voici la mitraillette humaine pour les vatos
Tiens voilà ta dose, non tu n'es pas défoncé l'ami
Entends bien la voix filer, c'est comme ça qu'j'pose
Des mots démodés, cernez mon vocabulaire
J'crois qu'même "Montreuil" n'est pas dans le dictionnaire
Vois de l'œil d'un visionnaire et téma le doc' qui opère
Et tu peux commencer à corriger avec un stylo vert
Balader la mélodie, bien laver la maladie
L'uZine mon fanatisme, ma secte jusqu'au paradis
Non je ne sais pas d'où vient mon inspiration
L'art et la manière de maîtriser la respiration
Fallait pas chercher les maîtres dans la matière ou démentir
Ne fais pas le narvalo, tu finiras par le sentir
J'ai lâché le flow d'énervé, craché, de pire en pire
Sens la morsure du vampire qui te...
T'es vert, c'est la merde, c'est la guerre, t'es pas vert
Sur les p'tits, tu faiblis, suis les cris d'épilepsie
Salivez, la vie s'élève sur les minis petits
Chaque fois qu'j'charcute saloperie d'instrumental
Te manipuler en une minute, sans les menottes à mon poignet
Sans minimiser le minimum amené
Mais non, mais non, même moi je mène mal la mélo molle
Mon ami j'a mille et mille mots de mélomane
On entrave absolument rien du tout
Vu la rapidité quand je pénave sur l'instrumentale
Écoute la langue épileptique, défile vite, défie le beat et puis débite
Appelle le but, abat l'arbitre, tape à la vitre
Et crie tout haut "Geronimo" avant de sauter dans la foule
Défoule à fond et fais le fou
Défilez-vous, je fous le feu
Même moi et mes narvalos, tant attendus, arrête-toi
Dix doigts dedans et tout est dit, pas là pour papoter ni plaire

Mise a flow (English translation)

You recognize the impact of the dude who's spitting fire,
Talking 'bout a dog's life, without begging for scraps.
You think you're a crackhead, well, here's the bruise to prove it,
Sending you to the heavens, 'cause I've mastered the cape.
Far from the magic of Disney,
All the cops are grilling you, 'cause you're caught like a rat.
It sounds like an auditory violation,
Needless to say, I just entered the arena like a king.
Life's a fight, when we spit bars, there are no cheap shots,
It's a plot, you get it, just one verse and the shot fires.
So don't think the damage is minimized,
We eliminate you, it's DVK spitting at the forefront to push his limits further.
Let's attack, stop chatting,
It's messed up when the cops get shot down.
Running without letting go, collecting endlessly, I ain't got the health, cheers to mine.
The cops pick you up 'cause you're acting tough,
Money taunts you, it's the sinews of war.
Me, I don't care about the dough, I've scaled so many walls,
That I remain unfazed when they throw stones at me.
I break through barriers, even with a lack of fresh air,
We hide in the dark, stuck in my den.
It works my brain, gaze fixed on the moon,
And my rage unveils to raise my banner.
I take a breath of air, everything's dead,
I roll blunts, shut you up, and everything unfolds.
You want some sick beats, we'll be there within the hour,
If you think we're going in circles, it's 'cause you've got the compass in your eye.
Listen to this sweet melody that resonates,
It's the story of a cicada among cockroaches.
I admire my city and then I question myself,
Like this kid who just came out of the closet.
I'm scared my time will come, so I use my paper as a collection,
Bring your ear closer and you'll hear the wind blowing in my wallet.
This strange era marks a page,
And I'm so enraged that my sound devours you.
Yeah, I'm around and it decorates the blinds,
I unclog ears just like Destop.
We gotta burn the pigs' bodies,
On the beat we exclaim, we break down doors.
Either you charge into the heap and ignore the stops,
Or you fall through the trapdoor just like Money Drop.
We attack, here you take this punch,
You digest the slap 'cause I walk with purpose.
And the cops track me when I sniff out the scam,
I've always been on the lookout for the fate of my loved ones.
They tell me, "Davodka, when are you gonna break through?",
That's not the question, so I launch myself like the RC,
To make money, how much blood will you spill?
Me, I don't advance like a sheep facing the shepherd's star,
I'm a satellite around a bottle, my life gravitates.
Yellow and red make a hit,
Whistling them remains my free will.
It's time for the fistfight,
You'll taste my knuckles as long as you drool,
And if you want fresh air, you've only got a tailpipe as a tuba.
Here you got no friends, you eat potatoes at night,
When the hookers hook far from the Pointe-a-Pitre sun.
Because the vice that leads to evil, listen to the music of a music lover,
We flatten your oval head and my whole crew looks fly.
Finger on the trigger, it's tempting, it's catchy,
And without details, the sound amazes you, without your money, without your teeth.
It's the long-awaited attack that slaps,
It detonates, everything's on the ground, it surprises you and you run away.
In total, we beat these tadpoles with headliners,
Head-to-head we finish you, in this state we paralyze you, we atomize you.
If you're tempted, I've got the energy, the one who buries you is Davodka,
From beginning to end in a verse that folds your theme.
Yeah, yeah, yeah, yeah
Huh, huh
Davodka
Cenza, L'uZine, (MSB)
I rip the beat, grab the title,
Spraying the cops, it's my round.
Swallow my rhyme, tie up the shit,
To get through customs full speed during the day.
Speed on a beat ain't just invented,
I rap it, I don't put on a trap act.
Can you feel the power crumble within you,
My rhyme splashes me every time I hit it.
On the little ones but you're green, when I grab the mic here,
To crack it without slowing down,
To let smoke burn, to seal it in CDs.
Obsessed with ideas of leading my sect of crazies, ah
When I break the beat, as usual,
The asphalt and the concrete,
No stick or jail will stop me from walking all these fags.
Sprayed, in my songs,
Load the bullets, clean the gear,
Here's the human machine gun for the vatos.
Here's your dose, no you're not high, my friend,
Hear the voice flow, that's how I lay it down.
Outdated words, understand my vocabulary,
I think even "Montreuil" ain't in the dictionary.
See with the eye of a visionary and watch the doc operate,
And you can start correcting with a green pen.
Walk the melody, wash the disease well,
L'uZine my fanaticism, my sect to paradise.
No, I don't know where my inspiration comes from,
The art and the way of mastering breathing.
You shouldn't have looked for masters in the matter or denied it,
Don't act like a narwhal, you'll end up feeling it.
I let loose the angry flow, spat, worse and worse,
Feel the bite of the vampire who...
You're green, it's shit, it's war, you're not green,
On the little ones, you weaken, follow the cries of epilepsy.
Salivate, life rises on the tiny little ones,
Every time I carve up this instrumental crap.
Manipulate you in a minute, without the handcuffs on my wrist,
Without minimizing the minimum brought.
But no, but no, even I lead the soft melody poorly,
My friend, I have a thousand and one words of a music lover.
We hinder absolutely nothing at all,
Given the speed when I roam on the instrumental.
Listen to the epileptic tongue, scroll fast, defy the beat and then spit,
Call the goal, take down the ref, tap on the glass,
And shout "Geronimo" before jumping into the crowd.
Vent to the fullest and act crazy,
Get out of here, I'm setting fire,
Even me and my narwhals, so long awaited, stop.
Ten fingers in and everything's said, not here to chat or please.