Текст и перевод песни Dimmu Borgir - Born Treacherous

Born Treacherous

With defiance and resistance
I burn the bridges and their names
Will I ever comprehend
My own spells and games?

Let me keep my world
Let me have my slaves
They all do wonders for me
So I can leave things be
Let me keep my world
As I am too blind to see

When I lay in bed at night
Wishing well
When I pray for recovery
Feeling hell
Suffocating in my own filth
With no fresh air to inhale

With defiance and resistance
I burn the bridges and their names
Will I ever comprehend
My own spells and games?

Born treacherous
Born treacherous
Born treacherous

Insanity keeps me away and free
From the core of responsibility
But once the pace quickens
I'll be derived from myself
In total mind captivity

Let me keep my world
Let me have my slaves

Let me keep my world
Let me have my slaves
They all do wonders for me
So I can leave things be
Let me keep my world
As I am too blind to see

Born treacherous
Born treacherous
Born treacherous

Né Traître

Avec défiance et résistance,
Je brûle les ponts et leurs noms.
Comprendrai-je jamais
Mes propres sorts et jeux ?

Laisse-moi garder mon monde,
Laisse-moi avoir mes esclaves.
Ils font tous des merveilles pour moi,
Alors je peux laisser les choses comme elles sont.
Laisse-moi garder mon monde,
Car je suis trop aveugle pour voir.

Quand je suis couché dans mon lit la nuit,
Souhaitant du bien,
Quand je prie pour la guérison,
Ressentant l'enfer.
Suffoquant dans ma propre crasse,
Sans air frais à respirer.

Avec défiance et résistance,
Je brûle les ponts et leurs noms.
Comprendrai-je jamais
Mes propres sorts et jeux ?

Né traître,
Né traître,
Né traître.

La folie me tient à l'écart et libre
Du cœur de la responsabilité.
Mais une fois le rythme accéléré,
Je serai dérivé de moi-même,
En totale captivité mentale.

Laisse-moi garder mon monde,
Laisse-moi avoir mes esclaves.

Laisse-moi garder mon monde,
Laisse-moi avoir mes esclaves.
Ils font tous des merveilles pour moi,
Alors je peux laisser les choses comme elles sont.
Laisse-moi garder mon monde,
Car je suis trop aveugle pour voir.

Né traître,
Né traître,
Né traître.