Текст и перевод песни Don McLean - Tapestry

Tapestry

Every thread of creation is held in position
By still other strands of things living
In an earthly tapestry hung from the skyline
Of smouldering cities so gray and so vulgar
As not to be satisfied with their own negativity
But needing to touch all the living as well
Every breeze that blows kindly is one crystal breath
We exhale on the blue diamond heaven
As gentle to touch as the hands of the healer
As soft as farewells whispered over the coffin
We're poisoned by venom with each breath we take
From the brown sulphur chimney and the black highway snake
Every dawn that breaks golden is held in suspension
Like the yoke of the egg in albumen.
Where the birth and the death of unseen generations
Are interdependent in vast orchestration
And painted in colors of tapestry thread
When the dying are born and the living are dead
Every pulse of your heartbeat is one liquid moment
That flows through the veins of your being
Like a river of life flowing on since creation
Approaching the sea with each new generation
You're now just a stagnant and rancid disgrace
That is rapidly drowning the whole human race
Every fish that swims silent, every bird that flies freely
Every doe that steps softly
Every crisp leaf that falls, all the flowers that grow
On this colourful tapestry, somehow they know
That if man is allowed to destroy all they need
He will soon have to pay with his life, for his greed

Tapisserie

Chaque fil de la création est maintenu en place
Par d'autres brins de choses vivantes
Dans une tapisserie terrestre suspendue à l'horizon
De villes fumantes si grises et si vulgaires
Au point de ne pas être satisfaites de leur propre négativité
Mais ayant besoin de toucher tous les êtres vivants aussi
Chaque brise qui souffle gentiment est une seule respiration cristalline
Que nous expirons sur le ciel de diamant bleu
Aussi doux au toucher que les mains du guérisseur
Aussi doux que les adieux murmurés au-dessus du cercueil
Nous sommes empoisonnés par le venin à chaque respiration que nous prenons
De la cheminée de soufre brun et du serpent de l'autoroute noire
Chaque aube qui se lève dorée est en suspens
Comme le joug de l'œuf dans l'albumine.
Où la naissance et la mort de générations invisibles
Sont interdépendantes dans une vaste orchestration
Et peintes dans des couleurs de fils de tapisserie
Lorsque les mourants naissent et que les vivants sont morts
Chaque battement de ton cœur est un moment liquide
Qui coule dans les veines de ton être
Comme une rivière de vie qui coule depuis la création
Approchant de la mer avec chaque nouvelle génération
Tu n'es maintenant qu'une honte stagnante et rance
Qui est en train de noyer rapidement toute la race humaine
Chaque poisson qui nage silencieux, chaque oiseau qui vole librement
Chaque biche qui marche doucement
Chaque feuille croustillante qui tombe, toutes les fleurs qui poussent
Sur cette tapisserie colorée, ils savent d'une certaine façon
Que si l'homme est autorisé à détruire tout ce dont il a besoin
Il devra bientôt payer de sa vie, pour sa cupidité