Текст и перевод песни Dremen - Nadie

Nadie

Para empezar a contarte
Que hay días que me siento un deconocido
Dándolo todo por perdido
Alimento al pendejo consentido que dirige mi talento
En el descuento, en horas bajas
En mi cuaderno solo tengo quejas
Cargado de insomnio y demonios
Probando puntería con las ovejas
Rodeados de sabandijas y carroñeros
Siguiendo las pautas de una vida insana
Demasiadas paradojas
Mientras la vida dibuja su diana en mí
Contradicciones, tachones, inseguridad
¿Dónde está la victoria?
Si no puedo olvidar que nuestra celestina
Siempre ha sido la miseria
(Tosko)
No es raro verte mal y ver que falta el aire
Suplicar al de arriba y no conteste nadie
Tus lágrimas escapan en busca de paz
El cielo torna gris sin pinta de que cambie
Pero es un espejismo a punto de engañarte
Sólo tú eres dueño de cada paso que das
(Bman zerowan)
Go after another dream fi rebuild
But i-man falling in the river of sin
Who dem cyan tell me that dem living like me?
What fucking life we living, and nobody can see! yow!
Nobody understand my soul is burning inside
No friend fi pay attention when my heart a go cry!
Maybe if i-man death tonigth no one go remind me!
So, no reason to be stronger!
(Kelo)
Yo sé que ves lo que ve,
Y sé que todo lo ves con fuego
Llevo toda la vida pensando que aquí no hay futuro
Si miro al cielo y digo
Deja ya la mentira
Hundirte en miseria no tiene sentido
Mira pa bajo, chico revienta
Tocando el fondo, aprende tu solo
Lejos de aquello y los suyos
Volviste a tomar el camino
Cuando estuviste perdido
Volver a tu sitio a coger oxígeno
Cuando te encuentras vacío
A estar a la altura si nada te frena
Cuando te viste jodido, a estar en la mierda
Que todos sabemos sin olvidar lo que suena
(Tosko)
No es raro verte mal y ver que falta el aire
Suplicar al de arriba y no conteste nadie
Tus lágrimas escapan en busca de paz
El cielo torna gris sin pinta de que cambie
Pero es un espejismo a punto de engañarte
Sólo tú eres dueño de cada paso que das
(Tawas)
Les gents souffrent et se battent pour que les portes s′ouvrent
On trime tous pour ne pas, finir un jour dans le gouffre, yo,
Dans cette sphére sois patient persévère
Frérot tout est éphémère si tu penses comme moi et mes confrères
La poisse passera comme le temps que dure un verre de bière
Tout dépend de toi
Blancs, beurs et renoi
Demain t'appartient boy sois rusé que tes copains
Change très vite de gamme avant de suivre ton train-train
(Tosko)
Solo tú eres quien, decide su azar
Camina hacia el bien, cuando todo esté mal
Tu corazón pide por su libertad mientras tú dices no no no, no no
Y yo se que:
No es raro verte mal y ver que falta el aire
Suplicar al de arriba y no conteste nadie
Tus lágrimas escapan en busca de paz
El cielo torna gris sin pinta de que cambie
Pero es un espejismo a punto de engañarte
Sólo tú eres dueño de cada paso que das
No es raro verte mal y ver que falta el aire

Personne

Pour commencer à te dire
Qu’il y a des jours où je me sens comme un inconnu
Tout abandonnant comme perdu
Nourrissant l’imbécile gâté qui dirige mon talent
Dans les temps additionnels, dans les moments difficiles
Dans mon carnet, il n’y a que des plaintes
Chargé d’insomnie et de démons
Testant ma visée sur les moutons
Entourés de charognes et de vautours
Suivant les directives d’une vie malsaine
Trop de paradoxes
Tandis que la vie dessine sa cible sur moi
Contradictions, ratures, insécurité
Où est la victoire ?
Si je ne peux oublier que notre entremetteuse
A toujours été la misère
(Tosko)
Ce n’est pas rare de te voir mal et de voir qu’il manque d’air
Supplier celui d’en haut et que personne ne réponde
Tes larmes s’échappent à la recherche de paix
Le ciel devient gris sans aucun signe de changement
Mais c’est un mirage sur le point de te tromper
Toi seule est maîtresse de chaque pas que tu fais
(Bman zerowan)
Courir après un autre rêve pour reconstruire
Mais je tombe dans la rivière du péché
Qui peut me dire qu’ils vivent comme moi ?
Quelle putain de vie nous vivons, et personne ne peut le voir ! yow!
Personne ne comprend que mon âme brûle à l’intérieur
Aucun ami pour faire attention quand mon cœur va pleurer !
Peut-être que si je meurs ce soir, personne ne se souviendra de moi !
Alors, aucune raison d’être plus fort !
(Kelo)
Je sais que tu vois ce qu’il voit,
Et je sais que tu vois tout avec feu
J’ai passé ma vie à penser qu’il n’y a pas d’avenir ici
Si je regarde le ciel et que je dis
Arrête le mensonge
S’enfoncer dans la misère n’a aucun sens
Regarde en bas, gamin, explose
Touchant le fond, apprends par toi-même
Loin de cela et des siens
Tu as repris le chemin
Quand tu étais perdue
Retourner à ta place pour respirer
Quand tu te sens vide
Être à la hauteur si rien ne te retient
Quand tu t’es vue foutue, être dans la merde
Que nous savons tous sans oublier ce qui sonne
(Tosko)
Ce n’est pas rare de te voir mal et de voir qu’il manque d’air
Supplier celui d’en haut et que personne ne réponde
Tes larmes s’échappent à la recherche de paix
Le ciel devient gris sans aucun signe de changement
Mais c’est un mirage sur le point de te tromper
Toi seule est maîtresse de chaque pas que tu fais
(Tawas)
Les gens souffrent et se battent pour que les portes s’ouvrent
On trime tous pour ne pas, finir un jour dans le gouffre, yo,
Dans cette sphère sois patiente persévère
Frérot tout est éphémère si tu penses comme moi et mes confrères
La poisse passera comme le temps que dure un verre de bière
Tout dépend de toi
Blancs, beurs et renoi
Demain t’appartient boy sois rusé que tes copains
Change très vite de gamme avant de suivre ton train-train
(Tosko)
Toi seule décides de ton destin
Marche vers le bien, quand tout va mal
Ton cœur réclame sa liberté tandis que tu dis non non non, non non
Et je sais que :
Ce n’est pas rare de te voir mal et de voir qu’il manque d’air
Supplier celui d’en haut et que personne ne réponde
Tes larmes s’échappent à la recherche de paix
Le ciel devient gris sans aucun signe de changement
Mais c’est un mirage sur le point de te tromper
Toi seule est maîtresse de chaque pas que tu fais
Ce n’est pas rare de te voir mal et de voir qu’il manque d’air