Текст и перевод песни Dyango - Señora Mía

Señora Mía

Señora mía
Perdone si he llamado,
No comprendo todavía,
Mis ansias de hablarle
Ni lo que hago
Es algo como un fuego
Que me abraza.

Señora mía
Aún no se retire,
Por favor no me despida,
Sé bien que no son horas
Pero tengo que decirle
Que llevo aquí su imagen
En el fondo de mi alma
Y me he soñado acostado
En su tibio lecho,
De noche yo miraba
Siempre hacia su ventana
Y así me imaginaba
Secretos suyos.

No se me asuste
Si solo he venido
A decirle dos palabras,
No quiero abusar de su confianza
Le pido un poquito de esperanza.

Señora mía
Aún no se retire,
Por favor no me despida,
Sé bien que no son horas
Pero tengo que decirle:

Señora mía la llevo
En el fondo de mi alma
Y me he soñado acostado
En su tibio lecho
De noche yo miraba
Siempre hacia su ventana
Y así me imaginaba
Secretos suyos.

Señora mía la llevo
En el fondo de mi alma
Y me he soñado acostado
En su tibio lecho
De noche yo miraba
Siempre hacia su ventana
Y así me imaginaba
Secretos suyos.

Señora mía

Ma Dame

Ma dame,
Pardonnez-moi si je vous ai appelée,
Je ne comprends toujours pas,
Mon désir de vous parler
Ni ce que je fais
C'est comme un feu
Qui me serre dans ses bras.

Ma dame,
Ne vous retirez pas encore,
S'il vous plaît, ne me renvoyez pas,
Je sais bien que ce ne sont pas les heures
Mais je dois vous dire
Que je porte votre image ici
Au fond de mon âme
Et j'ai rêvé de me coucher
Dans votre lit tiède,
La nuit, je regardais
Toujours vers votre fenêtre
Et ainsi j'imaginais
Vos secrets.

Ne vous effrayez pas
Si je suis venu
Pour vous dire deux mots,
Je ne veux pas abuser de votre confiance
Je vous demande un peu d'espoir.

Ma dame,
Ne vous retirez pas encore,
S'il vous plaît, ne me renvoyez pas,
Je sais bien que ce ne sont pas les heures
Mais je dois vous dire:

Ma dame, je vous porte
Au fond de mon âme
Et j'ai rêvé de me coucher
Dans votre lit tiède
La nuit, je regardais
Toujours vers votre fenêtre
Et ainsi j'imaginais
Vos secrets.

Ma dame, je vous porte
Au fond de mon âme
Et j'ai rêvé de me coucher
Dans votre lit tiède
La nuit, je regardais
Toujours vers votre fenêtre
Et ainsi j'imaginais
Vos secrets.

Ma dame,