Текст и перевод песни Dúo Salteño - Viene Clareando

Viene Clareando

Vidita, ya me voy
De los pagos del Tucumán.
Desde el Aconquija viene clareando;
Vidita, nunca te he'i de olvidar.
Desde el Aconquija viene clareando;
Vidita, nunca te he'i de olvidar.
Vidita, triste está,
Suspirando mi corazón.
Y con el pañuelo te voy diciendo:
Paloma, vidita, adiós, adiós
Y con el pañuelo te voy diciendo:
Paloma, vidita, adiós, adiós.

Vidita, ya me voy
Y se me hace que no he 'i volver.
¡Malhaya mi suerte tanto quererte,
Vidita y tenerte que perder!
¡Malhaya mi suerte tanto quererte!

Viene clareando mi padecer.

Al clarear yo me iré
De los pagos del Chaquivil
Y hasta las espuelas te irán diciendo:
-Vidita, no te olvides de mí

Y hasta las espuelas te irán diciendo:
-Vidita, no te olvides de mí.

Zamba sí, pena no;
Eso quiere mi corazón;
Pero hasta la zamba se vuelve triste,
Vidita, cuando se dice adiós
Pero hasta la zamba se vuelve triste,
Vidita, cuando se dice adiós.
Vidita, ya me voy
Y se me hace que no he 'i volver.
¡Malhaya mi suerte tanto quererte,
Vidita y tenerte que perder!
¡Malhaya mi suerte tanto quererte!
Viene clareando mi padecer.

L'aube se lève

Ma chérie, je pars
Des terres de Tucumán.
Depuis l'Aconquija, l'aube se lève ;
Ma chérie, je ne t'oublierai jamais.
Depuis l'Aconquija, l'aube se lève ;
Ma chérie, je ne t'oublierai jamais.
Ma chérie, je suis triste,
Mon cœur soupire.
Et avec mon mouchoir, je te dis :
Colombe, ma chérie, adieu, adieu
Et avec mon mouchoir, je te dis :
Colombe, ma chérie, adieu, adieu.

Ma chérie, je pars
Et je pense que je ne reviendrai pas.
Quel malheur, ma destinée, de t'aimer tant,
Ma chérie, et de devoir te perdre !
Quel malheur, ma destinée, de t'aimer tant !

L'aube se lève sur ma souffrance.

À l'aube, je partirai
Des terres de Chaquivil
Et même mes éperons te diront :
-Ma chérie, ne m'oublie pas

Et même mes éperons te diront :
-Ma chérie, ne m'oublie pas.

Zamba oui, douleur non ;
C'est ce que veut mon cœur ;
Mais même la zamba devient triste,
Ma chérie, quand on dit adieu
Mais même la zamba devient triste,
Ma chérie, quand on dit adieu.
Ma chérie, je pars
Et je pense que je ne reviendrai pas.
Quel malheur, ma destinée, de t'aimer tant,
Ma chérie, et de devoir te perdre !
Quel malheur, ma destinée, de t'aimer tant !
L'aube se lève sur ma souffrance.