Текст и перевод песни El Bebeto - Se Me Antoja Tu Piel

Se Me Antoja Tu Piel

Debo confesarte que no es tan fácil
Tenerte tan cerca y no poder tocarte
Calmar mis instintos por hacerte mía, y a besos devorarte
Se me antoja tanto detener el tiempo
Que olvidemos todo y escapemos lejos
Pero el destino no esta de mi lado
Ni tu tampoco
Se me parte el alma tan solo de imaginarte en otros brazos
Cuando aquí en los míos hay un mar entero de caricias nuevas
Que guarde para ti
Cada madrugada es un frío invierno que me quema lento
Abrazar mi almohada creyendo tenerte es un tormento cruel
Porque al amanecer
Se me antoja tu piel
Se me antoja tanto detener el tiempo
Que olvidemos todo y escapemos lejos
Pero el destino no esta de mi lado
Ni tu tampoco
Se me parte el alma tan solo de imaginarte en otros brazos
Cuando aquí en los míos hay un mar entero de caricias nuevas
Que guarde para ti
Cada madrugada es un frío invierno que me quema lento
Abrazar mi almohada creyendo tenerte es un tormento cruel
Porque al amanecer
Se me antoja tu piel

Se Me Antoja Tu Piel

Je dois t'avouer que ce n'est pas si facile
De t'avoir si près et de ne pas pouvoir te toucher
D'apaiser mes instincts pour te faire mienne, et te dévorer de baisers
J'ai tellement envie d'arrêter le temps
Que nous oubliions tout et que nous nous échapions loin
Mais le destin n'est pas de mon côté
Ni toi non plus
Mon âme se brise juste à l'idée de te voir dans les bras d'un autre
Alors qu'ici, dans les miens, il y a toute une mer de nouvelles caresses
Que je garde pour toi
Chaque matinée est un hiver froid qui me brûle lentement
Enlacer mon oreiller en croyant te tenir est un supplice cruel
Car au lever du soleil
J'ai envie de ta peau
J'ai tellement envie d'arrêter le temps
Que nous oubliions tout et que nous nous échapions loin
Mais le destin n'est pas de mon côté
Ni toi non plus
Mon âme se brise juste à l'idée de te voir dans les bras d'un autre
Alors qu'ici, dans les miens, il y a toute une mer de nouvelles caresses
Que je garde pour toi
Chaque matinée est un hiver froid qui me brûle lentement
Enlacer mon oreiller en croyant te tenir est un supplice cruel
Car au lever du soleil
J'ai envie de ta peau