Текст и перевод песни El Fantasma - El ABL

El ABL

Ah, cómo extraño el poder
Con todo lo que abarcaba
Y aquellas plazas también
Que se las puse a temblar
Es que esta vida es un riesgo
Pasó lo que iba a pasar

Que suene pues, tu acordeón
Compadre Paulino Vargas
Y mi prólogo las da
Que hay mucho que platicar
De historias y toneladas
No sé de cuál hice más

Cómo admiré a Pancho Villa
También a los Cesar Romano
Siempre peleé por lo mío
San Judas mi licenciado

No le tuve miedo a nada
Nunca perdí el optimismo
Y de La Palma a Huixiopa
De memoria sé el camino
Recuerdos de Monterrey
Y Cuernavaca que estimo

Sé que muchos se preguntan
¿Qué pasaría por mi mente?
El día que enfrente al gobierno
Y me tutié con la muerte
Eso nunca me asustó
La traición es la que duele

Si quieren saber de más
Escuchen bien mis corridos
El botas blancas fui yo
Ahí les encargo a los míos, ¡eh!

Le ABL

Ah, comme le pouvoir me manque,
Avec tout ce qu'il englobait,
Et ces places aussi, ma belle,
Que j'ai fait trembler.
C'est que cette vie est un risque,
Ce qui devait arriver, arriva.

Que résonne donc ton accordéon,
Compadre Paulino Vargas,
Et mon prologue les donne,
Car il y a beaucoup à raconter.
Des histoires et des tonnes,
Je ne sais pas laquelle j'ai le plus faite.

Comme j'ai admiré Pancho Villa,
Et les Cesar Romano aussi,
Je me suis toujours battu pour ce qui m'appartient,
Saint Judas, mon avocat.

Je n'ai jamais eu peur de rien,
Je n'ai jamais perdu mon optimisme,
Et de La Palma à Huixiopa,
Je connais le chemin par cœur.
Des souvenirs de Monterrey,
Et Cuernavaca que j'estime.

Je sais que beaucoup se demandent
Ce qui me passait par la tête,
Le jour où j'ai affronté le gouvernement,
Et que j'ai tutoyé la mort.
Cela ne m'a jamais effrayé,
C'est la trahison qui fait mal.

Si vous voulez en savoir plus,
Écoutez bien mes corridos,
Le « Bottes Blanches », c'était moi,
Je vous confie les miens, eh !