Текст и перевод песни El Otro Yo - Bajo la Guerra

Bajo la Guerra

Fantaseando lo prohibido
La ma? ana deprimido
La energia se diluye
Como sigues vida!
No sabes c? mo seguir
Ya no hay sue? os que cumplir,
Nada nuevo que sentir
S? lo la muerte.
No te vuelvas a caer
Que te pod? s perder.
No hay regreso esta vez.
Es que no te diste cuenta
Que la vida era una fiesta
En los techos rotos gotean estrellas!
Pierde miedo el cielo sobre las cabezas.
Bajo la guerra est? tu ser!
Pierde miedo el cielo sobre las cabezas.
Una nube blanca donde dormir,
Pierde miedo al cielo para escapar!
No sab? s donde escapar a quien pod? s llamar
Nadie acude, nadie atiende.
Te sacaron la energ? a, te robaron la alegr? a
Donde est? tu fantas? a, tu ilusi? n!
En los techos rotos gotean estrellas!
Pierde miedo el cielo sobre las cabezas.
Todo es libre ahora corta las cadenas!
Pierde miedo el cielo para escapar!
No sab? s como seguir
Ya no hay sue? os que cumplir
Nada nuevo que sentir,
S? lo la muerte.
Es que no te diste cuenta
Que la vida era una fiesta!
En el fondo!

Sous la Guerre

Rêvant de l'interdit
Le lendemain déprimé
L'énergie se dilue
Comment continues-tu à vivre !
Tu ne sais pas comment continuer
Il n'y a plus de rêves à réaliser,
Rien de nouveau à ressentir
Seulement la mort.
Ne te laisse plus tomber
Tu pourrais te perdre.
Il n'y a pas de retour cette fois.
Tu ne t'es pas rendu compte
Que la vie était une fête
Des étoiles gouttent sur les toits brisés !
Le ciel perd sa peur au-dessus de nos têtes.
Sous la guerre se trouve ton être !
Le ciel perd sa peur au-dessus de nos têtes.
Un nuage blanc où dormir,
Perds la peur du ciel pour t'échapper !
Tu ne sais pas où t'échapper, qui appeler
Personne ne vient, personne ne répond.
On t'a enlevé ton énergie, on t'a volé ta joie
Où est ton rêve, ton illusion !
Des étoiles gouttent sur les toits brisés !
Le ciel perd sa peur au-dessus de nos têtes.
Tout est libre maintenant, brise les chaînes !
Perds la peur du ciel pour t'échapper !
Tu ne sais pas comment continuer
Il n'y a plus de rêves à réaliser
Rien de nouveau à ressentir,
Seulement la mort.
Tu ne t'es pas rendu compte
Que la vie était une fête !
Au fond !