Текст и перевод песни El Vicio Del Duende - Quisiera - feat. Kutxi Romero

Quisiera - feat. Kutxi Romero

Quisiera haberte dicho cuanto te quiero princesa
Y escapar contigo donde no haya sitio pa más,
Seguirte a cualquier parte, pero a veces soy cobarde
Y en mitad de los senderos suelo dejar de andar...

Quisiera transformarte las mentiras
Para que al llorar te rias, ser el mismo que el de
Tu realidad...
Pensar que con tus pasos van los míos
Dibujandote el camino...

Quisiera dedicarte más canciones de las que hay en los
Cajones
Que cerré y no puedo recuperar...
Dormirme cada noche con tus ojos en el techo
Y volver a verlos en los sueños y al despertar...

Quisiera prometerte que no me marcharé lejos,
Que seré tu aliento cuando pares a descansar...
Que tu colchón siempre será mi templo
Y mi corazón tu espejo...

Pero estoy hecho del humo que queda por los callejones...
Cuando se cierran los bares, cuando la razón ya no entiende de razones...
Y ahora siendo sincero me voy a marchar, que al final
Siempre acabo perdiendo...
Y prefiero no quedarme quieto...

Prefiero ser el eco de un recuerdo y reposar entre tus dedos
Como el rastro de una estrella fugaz,
Dejando alguna cosa en el tintero como el beso de un te quiero
Y las promesas que no se cumplirán...

Porque estoy hecho del humo que queda por los callejones...
Cuando se cierran los bares, cuando la razón ya no entiende de razones...
Y ahora siendo sincero me voy a marchar, que al final siempre acabo perdiendo...
Y prefiero no quedarme quieto...

Pero estoy hecho del humo que queda por los callejones...
Cuando se cierran los bares, cuando la razón ya no entiende de razones...

Pero estoy hecho del humo que queda por los callejones...
Cuando se cierran los bares, cuando la razón ya no entiende de razones...

J'aurais aimé - feat. Kutxi Romero

J'aurais aimé te dire à quel point je t'aime, ma princesse
Et m'enfuir avec toi là où il n'y a plus de place pour personne d'autre,
Te suivre où que tu ailles, mais parfois je suis un lâche
Et au milieu des sentiers, j'ai l'habitude de m'arrêter de marcher...

J'aurais aimé transformer tes mensonges
Pour que tu rires quand tu pleures, pour être le même que celui de
Ta réalité...
Penser qu'avec tes pas, les miens se déplacent
En dessinant le chemin...

J'aurais aimé te dédier plus de chansons qu'il n'y en a dans les
Tiroirs
Que j'ai fermés et que je ne peux pas récupérer...
M'endormir chaque nuit avec tes yeux au plafond
Et les revoir dans mes rêves et au réveil...

J'aurais aimé te promettre que je ne m'éloignerai pas,
Que je serai ton souffle quand tu t'arrêteras pour te reposer...
Que ton matelas sera toujours mon temple
Et mon cœur ton miroir...

Mais je suis fait de la fumée qui reste dans les ruelles...
Quand les bars ferment, quand la raison ne comprend plus les raisons...
Et maintenant, pour être honnête, je vais m'en aller, car au final
Je finis toujours par perdre...
Et je préfère ne pas rester immobile...

Je préfère être l'écho d'un souvenir et me reposer entre tes doigts
Comme la trace d'une étoile filante,
Laissant quelque chose dans l'encrier comme le baiser d'un "je t'aime"
Et les promesses qui ne seront pas tenues...

Parce que je suis fait de la fumée qui reste dans les ruelles...
Quand les bars ferment, quand la raison ne comprend plus les raisons...
Et maintenant, pour être honnête, je vais m'en aller, car au final je finis toujours par perdre...
Et je préfère ne pas rester immobile...

Mais je suis fait de la fumée qui reste dans les ruelles...
Quand les bars ferment, quand la raison ne comprend plus les raisons...

Mais je suis fait de la fumée qui reste dans les ruelles...
Quand les bars ferment, quand la raison ne comprend plus les raisons...